La société de promotion immobilière Ivana donne un aperçu sur la situation du secteur. Les besoins de luxe se font ressentir. Essor. Le secteur a été épargné par la crise de 2009. Investir dans l’immobilier demeure une valeur sûre. « Le marché de l’immobilier est en croissance. Un tiers de la population rejoint les agglomérations urbaines. On dénombre quelque neuf cent cinquante mille demandes de logement dont cent mille, rien qu’à Antananarivo », explique Gaylord Toto, directeur commercial et marketing de la société Ivana durant la présentation d’un de leurs produits immobiliers, hier à Andohalo. Il a été ainsi démontré à quel point la capitale attire mais est déjà aussi saturée que les investissements doivent s’orienter vers les périphéries. « D’après les études réalisées par un cabinet spécialisé en immobilier Knight Frank, Antananarivo est en tête de liste dans le classement des villes les plus favorables aux investissements immobiliers. Le taux de rendement est de 12% contre 8% en Ethiopie, 10.4% à Chicago, 9.7% à Johannesbourg et 4% à Maurice », détaille-t-il. Le rendement concerne à la fois le côté locatif et celui de la revente. Aussi, le prix des terrains oscille-t-il dans les 100 000 ariary le mètre carré tandis que les prix des biens immobiliers se situent entre 300 et 600 millions d’ariary en moyenne. Ce qui ramène à dire que ce sont des produits, considérés encore comme des produits de luxe vu qu’une résidence dans un lotissement, clé en main coûte un milliard d’ariary. Premium Ce boom se justifie par la multiplication des produits immobiliers de luxe proposés. La société Ivana annonce la disponibilité de résidences en lotissement du côté d’Ambohitrarahaba. Un projet indiqué comme un premium de proximité. Sa clientèle cible est surtout la diaspora. « Beaucoup de nos compatriotes ont manifesté le besoin d’investir dans l’immobilier dans leur terre d’origine. Les uns ont épargné depuis dix ou vingt ans pour avoir accès à un bien immobilier convenable à leur retraite. D’autres demandent à faire réaliser des résidences individuelles hors lotissement. Les demandes sont toutes étudiées », explique Lilia Ratefiarivony, directeur général de la société Ivana. Des détails attrayants ont été exposés comme les piscines individuelles, des matériaux nobles et de bonne qualité et autres. La formule clé en main inclut des signatures notariées, des transactions sécurisées et une garantie décennale. Questionnée sur la possibilité pour les ménages moyens d’acquérir ce genre de bien, l’équipe d’Ivana propose de faire contribuer l’État dans la construction de logements sociaux, la facilitation des procédures et des appuis financiers conséquents.
La société de promotion immobilière Ivana donne un aperçu sur la situation du secteur. Les besoins de luxe se font ressentir. Essor. Le secteur a été épargné par la crise de 2009. Investir dans l’immobilier demeure une valeur sûre. « Le marché de l’immobilier est en croissance. Un tiers de la population rejoint les agglomérations urbaines. On dénombre quelque neuf cent cinquante mille demandes de logement dont cent mille, rien qu’à Antananarivo », explique Gaylord Toto, directeur commercial et marketing de la société Ivana durant la présentation d’un de leurs produits immobiliers, hier à Andohalo. Il a été ainsi démontré à quel point la capitale attire mais est déjà aussi saturée que les investissements doivent s’orienter vers les périphéries. « D’après les études réalisées par un cabinet spécialisé en immobilier Knight Frank, Antananarivo est en tête de liste dans le classement des villes les plus favorables aux investissements immobiliers. Le taux de rendement est de 12% contre 8% en Ethiopie, 10.4% à Chicago, 9.7% à Johannesbourg et 4% à Maurice », détaille-t-il. Le rendement concerne à la fois le côté locatif et celui de la revente. Aussi, le prix des terrains oscille-t-il dans les 100 000 ariary le mètre carré tandis que les prix des biens immobiliers se situent entre 300 et 600 millions d’ariary en moyenne. Ce qui ramène à dire que ce sont des produits, considérés encore comme des produits de luxe vu qu’une résidence dans un lotissement, clé en main coûte un milliard d’ariary. Premium Ce boom se justifie par la multiplication des produits immobiliers de luxe proposés. La société Ivana annonce la disponibilité de résidences en lotissement du côté d’Ambohitrarahaba. Un projet indiqué comme un premium de proximité. Sa clientèle cible est surtout la diaspora. « Beaucoup de nos compatriotes ont manifesté le besoin d’investir dans l’immobilier dans leur terre d’origine. Les uns ont épargné depuis dix ou vingt ans pour avoir accès à un bien immobilier convenable à leur retraite. D’autres demandent à faire réaliser des résidences individuelles hors lotissement. Les demandes sont toutes étudiées », explique Lilia Ratefiarivony, directeur général de la société Ivana. Des détails attrayants ont été exposés comme les piscines individuelles, des matériaux nobles et de bonne qualité et autres. La formule clé en main inclut des signatures notariées, des transactions sécurisées et une garantie décennale. Questionnée sur la possibilité pour les ménages moyens d’acquérir ce genre de bien, l’équipe d’Ivana propose de faire contribuer l’État dans la construction de logements sociaux, la facilitation des procédures et des appuis financiers conséquents.