Le RIR est basé sur des programmes qui ont connu un succès et ont construit la réputation de Roland Ratsiraka. C’est le cas pour le volet Jeunesse et sport. Lorsqu’il était maire de Toamasina, Roland Ratsiraka avait créé l’athlétisme semi-professionnel et le club ASCUT basketball. Il s’agissait d’avoir une politique défendant et promouvant la jeunesse et le sport. Ainsi, les athlètes ayant obtenu de bons résultats au championnat de Madagascar étaient pris en charge au niveau de leurs frais de scolarité, ou s’ils étaient sans emploi, recrutés à la mairie. L’ASCUT basketball est plusieurs fois championne de Madagascar, tout comme l’équipe féminine de volley-ball Stefauto. Pour l’emploi et la formation, Roland Ratsiraka avait créé le SAMAFI (Sampana monisipaly momba ny asa sy ny fiofanana), une agence municipale pour l’emploi et la formation. Il a identifié les chômeurs et donné du travail temporaire de deux ou trois jours, touchant des milliers de personnes. Cela a permis de prévenir la délinquance juvénile, de lutter contre la pauvreté et de donner de l’espoir aux démunis, que la pauvreté n’est pas une fatalité. En ville comme à la campagne, les jeunes sont désemparés et se disent sans avenir. L’exceptionnelle richesse de Madagascar est une vraie opportunité pour eux mais souvent ils l’ignorent et surtout attendent passivement que les choses viennent vers eux plutôt que d être actifs et se créer des opportunités. Il s’agit alors de les rendre actifs afin de les motiver pour se battre pour qu’ils ne soient plus en marge de la société. Ceux qui se trouvent là où l’insécurité règne seront intégrés dans le programme ECISE (éducation, civique, sécurité et emploi). Par exemple, on peut responsabiliser les colonels et autres officiers sans poste, lesquels peuvent transmettre la discipline, la notion de sécurité pour améliorer la défense villageoise, sans manipulation d’armes évidemment. En fait, le programme ECISE se préoccupe aussi du civisme, de la propreté et du respect de la nature et de l’environnement, entre autres. Quant au programme FAMA (Fanantanjahatena Manome Asa) spécifié dans le RIR, il permettra de créer le sport semi-professionnel en choisissant les disciplines qui peuvent apporter des résultats. Les entreprises intéressées bénéficieront d’une réduction d’impôts en contrepartie de la création d’emploi et du financement d’une discipline sportive. C’est-à-dire que les sportifs joueront en même temps qu’ils travailleront et toucheront des salaires. Les compétitions internationales seront encouragées car elles créent du dynamisme dont notamment celui touristique. Roland Ratsiraka n’hésitera pas à avoir de l’ambition afin que des rallyes Raid soient organisés à Madagascar, au même titre que le Dakar ou autres.
Le RIR est basé sur des programmes qui ont connu un succès et ont construit la réputation de Roland Ratsiraka. C’est le cas pour le volet Jeunesse et sport. Lorsqu’il était maire de Toamasina, Roland Ratsiraka avait créé l’athlétisme semi-professionnel et le club ASCUT basketball. Il s’agissait d’avoir une politique défendant et promouvant la jeunesse et le sport. Ainsi, les athlètes ayant obtenu de bons résultats au championnat de Madagascar étaient pris en charge au niveau de leurs frais de scolarité, ou s’ils étaient sans emploi, recrutés à la mairie. L’ASCUT basketball est plusieurs fois championne de Madagascar, tout comme l’équipe féminine de volley-ball Stefauto. Pour l’emploi et la formation, Roland Ratsiraka avait créé le SAMAFI (Sampana monisipaly momba ny asa sy ny fiofanana), une agence municipale pour l’emploi et la formation. Il a identifié les chômeurs et donné du travail temporaire de deux ou trois jours, touchant des milliers de personnes. Cela a permis de prévenir la délinquance juvénile, de lutter contre la pauvreté et de donner de l’espoir aux démunis, que la pauvreté n’est pas une fatalité. En ville comme à la campagne, les jeunes sont désemparés et se disent sans avenir. L’exceptionnelle richesse de Madagascar est une vraie opportunité pour eux mais souvent ils l’ignorent et surtout attendent passivement que les choses viennent vers eux plutôt que d être actifs et se créer des opportunités. Il s’agit alors de les rendre actifs afin de les motiver pour se battre pour qu’ils ne soient plus en marge de la société. Ceux qui se trouvent là où l’insécurité règne seront intégrés dans le programme ECISE (éducation, civique, sécurité et emploi). Par exemple, on peut responsabiliser les colonels et autres officiers sans poste, lesquels peuvent transmettre la discipline, la notion de sécurité pour améliorer la défense villageoise, sans manipulation d’armes évidemment. En fait, le programme ECISE se préoccupe aussi du civisme, de la propreté et du respect de la nature et de l’environnement, entre autres. Quant au programme FAMA (Fanantanjahatena Manome Asa) spécifié dans le RIR, il permettra de créer le sport semi-professionnel en choisissant les disciplines qui peuvent apporter des résultats. Les entreprises intéressées bénéficieront d’une réduction d’impôts en contrepartie de la création d’emploi et du financement d’une discipline sportive. C’est-à-dire que les sportifs joueront en même temps qu’ils travailleront et toucheront des salaires. Les compétitions internationales seront encouragées car elles créent du dynamisme dont notamment celui touristique. Roland Ratsiraka n’hésitera pas à avoir de l’ambition afin que des rallyes Raid soient organisés à Madagascar, au même titre que le Dakar ou autres.