Sept individus ont été pris en flagrant délit de vol de gas-oil dans les locaux de l’usine Ambatovy, mardi. L’un d’entre-eux a été touché par un projectile. Ce n’est pas la première fois, avouent les voleurs. Cette fois-ci, mardi à 2h du matin, ils n’ont pas échappé à la surveillance des agents de sécurité de l’usine de transformation d’Ambatovy. Ces vigiles seraient sur leur petit nuage pendant que la bande s’est infiltrée dans les sites. Finalement éveillés par des bruits, ils l’ont trouvée en train de verser du carburant. Sans tarder, ils ont prévenu les éléments de la gendarmerie chargés de patrouille dans les parages. À vive allure, ces derniers se sont transportés sur les lieux pour la chasse. L’on a exactement découvert tous les sept encore sur les lieux, siphonnant du gas-oil dans les réservoirs. Ils ne s’en sont pas fait une miette, d’après les explications concordantes. Après avoir réalisé ses premières constatations, la gendarmerie a maintenant procédé à l’arrestation de ces filous. Tout d’un coup, les cibles se sont dispersées et ont tenté de prendre le large dans le noir. «Des tirs de sommation ont donc été faits pour les stopper, mais l’une d’entre elles continuait de s’enfuir. Ce qui nous a amenés à tirer sur elle qui, par la suite a été blessée», a relaté l’un des patrouilleurs. D’importantes quantités Cette équipe de cambrioleurs sera traduite devant le parquet dès que l’enquête sera terminée. Celui qui a été touché par le projectile a déjà reçu des soins, selon les informations communiquées. D’après les renseignements, cent quatre-vingt litres de gas-oil ont failli être dérobés. Au cours de l’interrogatoire, les sept auteurs ont reconnu leur participation au vol. Ils ont révélé qu’ils avaient déjà grappillé d’importantes quantités de carburant au dépôt. Jusqu’ici, les enquêteurs ne se sont pas intéressés à des membres de l’entourage de l’usine. «Les pillards vendent leur butin à des clients habituels», a confié un limier de la gendarmerie. Ces bandits se sont finalement fait arrêter après avoir longuement joué au chat et à la souris avec les gardiens. «La nuit, ils attendaient que ces veilleurs soient ensommeillés aux aurores avant de passer à l’opération», a signalé notre informateur auprès de l’administration d’Ambatovy. Les captifs viennent de passer leur deuxième nuit en cellule.
Sept individus ont été pris en flagrant délit de vol de gas-oil dans les locaux de l’usine Ambatovy, mardi. L’un d’entre-eux a été touché par un projectile. Ce n’est pas la première fois, avouent les voleurs. Cette fois-ci, mardi à 2h du matin, ils n’ont pas échappé à la surveillance des agents de sécurité de l’usine de transformation d’Ambatovy. Ces vigiles seraient sur leur petit nuage pendant que la bande s’est infiltrée dans les sites. Finalement éveillés par des bruits, ils l’ont trouvée en train de verser du carburant. Sans tarder, ils ont prévenu les éléments de la gendarmerie chargés de patrouille dans les parages. À vive allure, ces derniers se sont transportés sur les lieux pour la chasse. L’on a exactement découvert tous les sept encore sur les lieux, siphonnant du gas-oil dans les réservoirs. Ils ne s’en sont pas fait une miette, d’après les explications concordantes. Après avoir réalisé ses premières constatations, la gendarmerie a maintenant procédé à l’arrestation de ces filous. Tout d’un coup, les cibles se sont dispersées et ont tenté de prendre le large dans le noir. «Des tirs de sommation ont donc été faits pour les stopper, mais l’une d’entre elles continuait de s’enfuir. Ce qui nous a amenés à tirer sur elle qui, par la suite a été blessée», a relaté l’un des patrouilleurs. D’importantes quantités Cette équipe de cambrioleurs sera traduite devant le parquet dès que l’enquête sera terminée. Celui qui a été touché par le projectile a déjà reçu des soins, selon les informations communiquées. D’après les renseignements, cent quatre-vingt litres de gas-oil ont failli être dérobés. Au cours de l’interrogatoire, les sept auteurs ont reconnu leur participation au vol. Ils ont révélé qu’ils avaient déjà grappillé d’importantes quantités de carburant au dépôt. Jusqu’ici, les enquêteurs ne se sont pas intéressés à des membres de l’entourage de l’usine. «Les pillards vendent leur butin à des clients habituels», a confié un limier de la gendarmerie. Ces bandits se sont finalement fait arrêter après avoir longuement joué au chat et à la souris avec les gardiens. «La nuit, ils attendaient que ces veilleurs soient ensommeillés aux aurores avant de passer à l’opération», a signalé notre informateur auprès de l’administration d’Ambatovy. Les captifs viennent de passer leur deuxième nuit en cellule.