Le laisser-aller est flagrant dans beaucoup de quartiers de Mahajanga. La saleté et la gabegie indisposent tout le monde sans qu’aucune mesure ne soit prise. Élevage de poules, ou basse-cour, en plein centre de la ville de Mahajanga, une cuisine en pleine voie publique, lavage de tricycles et de linge dans la rue. Et tant d’autres actes de gabegie règnent dans le quartier résidentiel et commercial de Mahajanga be depuis plusieurs années. Notamment du côté du port, derrière l’immeuble de l’ex Somacodis et en face du bureau du service des Douanes. Mais le pire dans tout cela est la cuisine en pleine rue où les réchauds à charbon sont installés sur la voie publique avec les marmites. Après la lessive faite sur place, le linge est étendu sur le trottoir pour y être séché. D’ailleurs, il n’y a aucun trottoir car des constructions en dur sont érigées le long du mur du bâtiment de Somacodis. Des gargotes et des baraques illustrent cette place depuis plusieurs années, sans que personne n’intervienne. Et cela continue encore aujourd’hui. « Le pire est que tous les matins, ces gens jettent les eaux usées et des excréments dans le canal près de la librairie. Comme ils ne possèdent aucune installation sanitaire, ils font leurs besoins dans des pots de chambre qui sont vidés dans le caniveau », a déploré un riverain, également étouffé par les odeurs nauséabondes. Tapage Comme dans tous les quartiers où désormais les bruits de voisinage sont devenus le lot du quotidien des habitants, les sonos lancés à fond perturbent le sommeil des riverains toutes les nuits, jusqu’à 4h du matin. À Mahajanga be, les clients des hôtels se plaignent également des tapages et bruits des sonorisations des bars. Surtout ceux dans le bazar be où l’on observe trois débits de boissons alcoolisées espacés d’à peine de deux mètres d’intervalle entre eux. Tout le monde ferme les yeux devant une telle situation qui nuit au bien-être des citoyens à vivre et à dormir dans le calme et la sérénité. En matière d’incivilité et de tapage nocturne supportés par les habitants, la ville de Mahajanga détient le record.
Le laisser-aller est flagrant dans beaucoup de quartiers de Mahajanga. La saleté et la gabegie indisposent tout le monde sans qu’aucune mesure ne soit prise. Élevage de poules, ou basse-cour, en plein centre de la ville de Mahajanga, une cuisine en pleine voie publique, lavage de tricycles et de linge dans la rue. Et tant d’autres actes de gabegie règnent dans le quartier résidentiel et commercial de Mahajanga be depuis plusieurs années. Notamment du côté du port, derrière l’immeuble de l’ex Somacodis et en face du bureau du service des Douanes. Mais le pire dans tout cela est la cuisine en pleine rue où les réchauds à charbon sont installés sur la voie publique avec les marmites. Après la lessive faite sur place, le linge est étendu sur le trottoir pour y être séché. D’ailleurs, il n’y a aucun trottoir car des constructions en dur sont érigées le long du mur du bâtiment de Somacodis. Des gargotes et des baraques illustrent cette place depuis plusieurs années, sans que personne n’intervienne. Et cela continue encore aujourd’hui. « Le pire est que tous les matins, ces gens jettent les eaux usées et des excréments dans le canal près de la librairie. Comme ils ne possèdent aucune installation sanitaire, ils font leurs besoins dans des pots de chambre qui sont vidés dans le caniveau », a déploré un riverain, également étouffé par les odeurs nauséabondes. Tapage Comme dans tous les quartiers où désormais les bruits de voisinage sont devenus le lot du quotidien des habitants, les sonos lancés à fond perturbent le sommeil des riverains toutes les nuits, jusqu’à 4h du matin. À Mahajanga be, les clients des hôtels se plaignent également des tapages et bruits des sonorisations des bars. Surtout ceux dans le bazar be où l’on observe trois débits de boissons alcoolisées espacés d’à peine de deux mètres d’intervalle entre eux. Tout le monde ferme les yeux devant une telle situation qui nuit au bien-être des citoyens à vivre et à dormir dans le calme et la sérénité. En matière d’incivilité et de tapage nocturne supportés par les habitants, la ville de Mahajanga détient le record.