Ce jour sera décisif sur la tenue de l’examen d’éducation physique et sportive (EPS) du BEPC et du Baccalauréat dans l’ex-province d’Antananarivo. Tous les responsables concernés se réuniront dans une assemblée générale pour trouver un terrain d’entente. Les avis divergent le sujet, malgré l’annonce de la reprise des activités scolaires par le directeur régional de l’Education nationale à Analamanga et l’ultimatum de 72 heures lancé par le Premier ministre Christian Ntsay. Les coordonnateurs et les chefs de centre, en réunion samedi, se sont mis d’accord pour réaliser cette épreuve. Le syndicat des enseignants de l’EPS, par contre, s’obstine à maintenir leur grève. « Les quatre vingt enseignants présents à notre assemblée générale, qui s’est tenue vendredi, ont décidé de ne pas rejoindre leur poste. Nous nous sentons trahis. Nous n’avons pas peur de l’ultimatum. Nous serons au ministère de l’Éducation nationale à Anosy, lundi, pour manifester », lance le porte-parole du syndicat. Les premiers responsables feraient leur maximum pour persuader leurs collègues à revenir sur leur décision.
Ce jour sera décisif sur la tenue de l’examen d’éducation physique et sportive (EPS) du BEPC et du Baccalauréat dans l’ex-province d’Antananarivo. Tous les responsables concernés se réuniront dans une assemblée générale pour trouver un terrain d’entente. Les avis divergent le sujet, malgré l’annonce de la reprise des activités scolaires par le directeur régional de l’Education nationale à Analamanga et l’ultimatum de 72 heures lancé par le Premier ministre Christian Ntsay. Les coordonnateurs et les chefs de centre, en réunion samedi, se sont mis d’accord pour réaliser cette épreuve. Le syndicat des enseignants de l’EPS, par contre, s’obstine à maintenir leur grève. « Les quatre vingt enseignants présents à notre assemblée générale, qui s’est tenue vendredi, ont décidé de ne pas rejoindre leur poste. Nous nous sentons trahis. Nous n’avons pas peur de l’ultimatum. Nous serons au ministère de l’Éducation nationale à Anosy, lundi, pour manifester », lance le porte-parole du syndicat. Les premiers responsables feraient leur maximum pour persuader leurs collègues à revenir sur leur décision.