Vingt-quatre femmes malgaches ayant travaillé au Koweït sont de retour au pays. Elles sont arrivées à Ivato après une intervention des représentants de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), des agents du ministère des Affaires étrangères et de l’ambassade de Madagascar sur place. Cette nouvelle vague grossit le rang de celles rapatriées depuis le début de l’année. Le Fonds global d’assistance de l’OIM, veillant sur les victimes de la traite des personnes et autres migrants vulnérables, enregistre en tout, le retour de quatre-vingt-quatre femmes. Depuis 2013, un décret interdit la migration professionnelle vers des zones à risques mais des hommes et des femmes qui recherchent le bien-être en terre étrangères, ne mesurent pas les dangers encourus, une foi en dehors du territoire national. « C’est un nombre de retour très important et presque exceptionnel, en pour bonne partie lié à une amnistie formulée par les autorités Koweitiennes, qui a motivé un certain nombre de malgaches à se manifester sur place, mais qui en même temps, traduit malheureusement encore de trop nombreux comportements migratoires à risque, non encadrés qui aboutissent trop souvent encore à des catastrophes », précise Daniel Silva y Poveda, chef de mission de l’OIM à Madagascar. Farah Raharijaona
Vingt-quatre femmes malgaches ayant travaillé au Koweït sont de retour au pays. Elles sont arrivées à Ivato après une intervention des représentants de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), des agents du ministère des Affaires étrangères et de l’ambassade de Madagascar sur place. Cette nouvelle vague grossit le rang de celles rapatriées depuis le début de l’année. Le Fonds global d’assistance de l’OIM, veillant sur les victimes de la traite des personnes et autres migrants vulnérables, enregistre en tout, le retour de quatre-vingt-quatre femmes. Depuis 2013, un décret interdit la migration professionnelle vers des zones à risques mais des hommes et des femmes qui recherchent le bien-être en terre étrangères, ne mesurent pas les dangers encourus, une foi en dehors du territoire national. « C’est un nombre de retour très important et presque exceptionnel, en pour bonne partie lié à une amnistie formulée par les autorités Koweitiennes, qui a motivé un certain nombre de malgaches à se manifester sur place, mais qui en même temps, traduit malheureusement encore de trop nombreux comportements migratoires à risque, non encadrés qui aboutissent trop souvent encore à des catastrophes », précise Daniel Silva y Poveda, chef de mission de l’OIM à Madagascar. Farah Raharijaona