la commune rurale d'Isorana et celle d'Ambondrona ont bénéficié d'eau potable. Une réservoir d'eau de 50m3 a été mis en place dans la commune d'Isorana, à cet effet. Pas à pas. L’adduction d’eau potable reste un défi majeur à Madagascar. Selon Nirina Andriavelojaona, directeur du ministère de l’Eau, de l’énergie et de l’hydrocarbure, lors de la journée mondiale de l’eau célébrée dans le district d’Isandra hier, 24 % de la population ont accès à l’eau potable actuellement. À ce chiffre s’ajoute 1 à 2 %, chaque année. « Nous nous basons sur l’atteinte de l’objectif de développement durable (ODD), concernant l’accès de l’eau potable en 2030. Nous ne pouvons l’atteindre à ce rythme-là. D’après les enquêtes que nous avons menées au sein du ministère, Madagascar a besoin de 195 millions de dollars par an. 10 % de ces besoins sont pris en charge par l’État. Selon la base de données du ministère, le niveau d’eau dans les régions d’Itasy et d’Analamanga est en hausse par rapport aux régions Melaky et Atsimo Atsinanana. Faute de moyen financier, les infrastructures ne sont pas mises en place jusqu'à maintenant », explique-t-il. La plupart des points d’eau sont localisés mais la réalisation des infrastructures sont conduits par des entreprises ou des organisations environnementales. Réservoirs d'eau Environ quatre mille habitants des communes d’Isorana et d’Ambondrona, ont accès à l’eau potable grâce a l’emplacement de réservoirs d’eau dans ces zones. La remise de ces infrastructures a été honorée de la présence du président de la république, Hery Rajaonarimampianina. Une entreprise privée Fafisoa, financée par le Métropole Grand Lion gère l’eau à Isorana tandis que l’État, à travers le ministère de l’Eau, de l’énergie et des hydrocarbures, a construit le réservoir d’Ambondrona a hauteur d’environ 300 millions d’ariary. Les entreprises privées deviennent comme des petits Jirama dans ces localités. « L’adduction d’eau à Isorana se divise en deux. Le réservoir de 50 m3 peut desservir deux mille six cent habitants. Le point d’eau public est destiné à toute la population. L e bidon coûte 20 ariary. Le coût de m3 est de 800 ariary. En outre, Il y a les branchements particuliers auxquels cinq à dix ménages s’y approvisionnent et où le m3 coûte 700 ariary », explique Ramanana, agent communautaire dans l’entreprise Fafisoa. L’acquisition des infrastructures par les communes du district d’Isandra, est considérée comme la marche vers l’émergence 2030. La commune rurale d’Isorana et celle d’Ambondrona ont bénéficié de l’eau potable. La remise de ces infrastructures a eu lieu, hier. Un réservoir d’eau de 50m3 a été mis en place dans la commune d’Isorana à cet effet Mamisoa Antonia
la commune rurale d'Isorana et celle d'Ambondrona ont bénéficié d'eau potable. Une réservoir d'eau de 50m3 a été mis en place dans la commune d'Isorana, à cet effet. Pas à pas. L’adduction d’eau potable reste un défi majeur à Madagascar. Selon Nirina Andriavelojaona, directeur du ministère de l’Eau, de l’énergie et de l’hydrocarbure, lors de la journée mondiale de l’eau célébrée dans le district d’Isandra hier, 24 % de la population ont accès à l’eau potable actuellement. À ce chiffre s’ajoute 1 à 2 %, chaque année. « Nous nous basons sur l’atteinte de l’objectif de développement durable (ODD), concernant l’accès de l’eau potable en 2030. Nous ne pouvons l’atteindre à ce rythme-là. D’après les enquêtes que nous avons menées au sein du ministère, Madagascar a besoin de 195 millions de dollars par an. 10 % de ces besoins sont pris en charge par l’État. Selon la base de données du ministère, le niveau d’eau dans les régions d’Itasy et d’Analamanga est en hausse par rapport aux régions Melaky et Atsimo Atsinanana. Faute de moyen financier, les infrastructures ne sont pas mises en place jusqu'à maintenant », explique-t-il. La plupart des points d’eau sont localisés mais la réalisation des infrastructures sont conduits par des entreprises ou des organisations environnementales. Réservoirs d'eau Environ quatre mille habitants des communes d’Isorana et d’Ambondrona, ont accès à l’eau potable grâce a l’emplacement de réservoirs d’eau dans ces zones. La remise de ces infrastructures a été honorée de la présence du président de la république, Hery Rajaonarimampianina. Une entreprise privée Fafisoa, financée par le Métropole Grand Lion gère l’eau à Isorana tandis que l’État, à travers le ministère de l’Eau, de l’énergie et des hydrocarbures, a construit le réservoir d’Ambondrona a hauteur d’environ 300 millions d’ariary. Les entreprises privées deviennent comme des petits Jirama dans ces localités. « L’adduction d’eau à Isorana se divise en deux. Le réservoir de 50 m3 peut desservir deux mille six cent habitants. Le point d’eau public est destiné à toute la population. L e bidon coûte 20 ariary. Le coût de m3 est de 800 ariary. En outre, Il y a les branchements particuliers auxquels cinq à dix ménages s’y approvisionnent et où le m3 coûte 700 ariary », explique Ramanana, agent communautaire dans l’entreprise Fafisoa. L’acquisition des infrastructures par les communes du district d’Isandra, est considérée comme la marche vers l’émergence 2030. La commune rurale d’Isorana et celle d’Ambondrona ont bénéficié de l’eau potable. La remise de ces infrastructures a eu lieu, hier. Un réservoir d’eau de 50m3 a été mis en place dans la commune d’Isorana à cet effet Mamisoa Antonia