La vision du SEFAFI ou Observatoire de la vie publique ne change pas pour cette année 2019 malgré la nomination d’un de ses membres à la tête du Comité pour la Sauvegarde de l’Intégrité. Il s’agit de Sahondra Rabenarivo, une juriste qui a travaillé pendant huit ans auprès de la société civile, une fervente actrice à l’interpellation de l’Etat à travers la publication des communiqués. SEFAFI a publié le 17ème recueil hier dans lequel plusieurs points ont été évoqués pour rappeler les faits marquants pendant l’année 2018, notamment sur la scène politique. Intitulé « On apprend les mêmes et on recommence ? », le 17e recueil relate les lacunes sur la réalisation du troisième Recensement général de la population et de l’habitat. « Les résultats des enquêtes devraient être publiés pour pallier les problèmes liés à la confection de la liste électorale », affirme Andriamandranto Ralison, membre du SEFAFI. En outre, la transparence du budget alloué à l’élection, la réforme du statut des partis politiques ainsi que d’autres sujets pertinents relatifs à l’élection des chefs de région sont exposés dans le recueil de SEFAFI. Après la nomination de Sahondra Rabenarivo, la crédibilité de SEFAFI sur l’observation de la vie publique a été remise en cause. Certains observateurs politiques sont soucieux à ce que ce membre de la société civile, très connue dans l’interpellation de l’État en cas de dérive ou de remettre sur les rails la logique de la pratique politique, change de posture. En réponse à cette inquiétude, Sahondra Rabenarivo d’expliquer que « la nomination auprès de la CSI n’impacte pas la position de SEFAFI. C’est juste que je m’absente momentanément pour prendre le relais auprès de cet organe ». En termes de mise en œuvre de sa vision, SEFAFI entend étoffer ses activités cette année. Cette société civile s’est dit prête pour suivre de près la concrétisation des engagements lancés par le gouvernement entre autres la culture de compétence dans tous les ministères, le renforcement de la lutte contre la corruption et tant d’autres encore. Elise Nandrasanela
La vision du SEFAFI ou Observatoire de la vie publique ne change pas pour cette année 2019 malgré la nomination d’un de ses membres à la tête du Comité pour la Sauvegarde de l’Intégrité. Il s’agit de Sahondra Rabenarivo, une juriste qui a travaillé pendant huit ans auprès de la société civile, une fervente actrice à l’interpellation de l’Etat à travers la publication des communiqués. SEFAFI a publié le 17ème recueil hier dans lequel plusieurs points ont été évoqués pour rappeler les faits marquants pendant l’année 2018, notamment sur la scène politique. Intitulé « On apprend les mêmes et on recommence ? », le 17e recueil relate les lacunes sur la réalisation du troisième Recensement général de la population et de l’habitat. « Les résultats des enquêtes devraient être publiés pour pallier les problèmes liés à la confection de la liste électorale », affirme Andriamandranto Ralison, membre du SEFAFI. En outre, la transparence du budget alloué à l’élection, la réforme du statut des partis politiques ainsi que d’autres sujets pertinents relatifs à l’élection des chefs de région sont exposés dans le recueil de SEFAFI. Après la nomination de Sahondra Rabenarivo, la crédibilité de SEFAFI sur l’observation de la vie publique a été remise en cause. Certains observateurs politiques sont soucieux à ce que ce membre de la société civile, très connue dans l’interpellation de l’État en cas de dérive ou de remettre sur les rails la logique de la pratique politique, change de posture. En réponse à cette inquiétude, Sahondra Rabenarivo d’expliquer que « la nomination auprès de la CSI n’impacte pas la position de SEFAFI. C’est juste que je m’absente momentanément pour prendre le relais auprès de cet organe ». En termes de mise en œuvre de sa vision, SEFAFI entend étoffer ses activités cette année. Cette société civile s’est dit prête pour suivre de près la concrétisation des engagements lancés par le gouvernement entre autres la culture de compétence dans tous les ministères, le renforcement de la lutte contre la corruption et tant d’autres encore. Elise Nandrasanela