Bénéfique. Madagascar a su tirer partie de sa présidence de la Francophonie. Au-delà de la langue en partage, des opportunités sont ouvertes pour le développement de la Grande ile. Assurant actuellement la présidence du Sommet de la Francophonie, Hery Rajaonarimampianina est fier de ses réalisations. Devant les chefs d’institution, des ambassadeurs des pays membres de l’OIF, des acteurs de la Francophonie, ainsi que des étudiants, le chef de l’État a défendu le bilan de ses deux années à la tête du Sommet aussi bien sur le plan national qu’international. À entendre le président de la République, Hery Rajaonarimampianina, lors d’une cérémonie au palais d’Iavoloha, mardi, la Francophonie a confirmé le retour de Madagascar dans le concert des nations. « Cela nous a permis de tenir la conférence des bailleurs et des investisseurs pour Madagascar, à Paris, début décembre 2016. Une conférence qui a reçu un accueil chaleureux des partenaires du développement de la Grande île qui ont pris un engagement totalisant plus de 10 milliards USD, dont 60 % sont aujourd’hui engagés, ou en cours d’exécution, et certains même déjà réalisés », affirme le président de la République. La Francophonie, au-delà du partage de la langue française, dispose d’une politique et d’une stratégie. En tant que président de cette organisation, le président de la République Hery Rajaonarimampianina en est le garant de la mise en œuvre. « À ce titre, je suis fier de citer quelques-unes des initiatives de la Francophonie dans ce sens : la mise en place de l’Observatoire Boutros Boutros-Gali, le plaidoyer mené par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) pour l’opérationnalisation de la force mixte G5 Sahel, ou encore l’organisation de la conférence des femmes de la Francophonie à Bucarest», a conclu le Président Hery Rajaonarimampianina. Célébrée chaque 20 mars, la Journée internationale de la Francophonie rappelle la création de l’Agence de coopération culturelle et technique à Niamey Niger en 1970. Le thème de cette année « La langue française, notre trait d’union pour agir ». Andry Rialintsalama
Bénéfique. Madagascar a su tirer partie de sa présidence de la Francophonie. Au-delà de la langue en partage, des opportunités sont ouvertes pour le développement de la Grande ile. Assurant actuellement la présidence du Sommet de la Francophonie, Hery Rajaonarimampianina est fier de ses réalisations. Devant les chefs d’institution, des ambassadeurs des pays membres de l’OIF, des acteurs de la Francophonie, ainsi que des étudiants, le chef de l’État a défendu le bilan de ses deux années à la tête du Sommet aussi bien sur le plan national qu’international. À entendre le président de la République, Hery Rajaonarimampianina, lors d’une cérémonie au palais d’Iavoloha, mardi, la Francophonie a confirmé le retour de Madagascar dans le concert des nations. « Cela nous a permis de tenir la conférence des bailleurs et des investisseurs pour Madagascar, à Paris, début décembre 2016. Une conférence qui a reçu un accueil chaleureux des partenaires du développement de la Grande île qui ont pris un engagement totalisant plus de 10 milliards USD, dont 60 % sont aujourd’hui engagés, ou en cours d’exécution, et certains même déjà réalisés », affirme le président de la République. La Francophonie, au-delà du partage de la langue française, dispose d’une politique et d’une stratégie. En tant que président de cette organisation, le président de la République Hery Rajaonarimampianina en est le garant de la mise en œuvre. « À ce titre, je suis fier de citer quelques-unes des initiatives de la Francophonie dans ce sens : la mise en place de l’Observatoire Boutros Boutros-Gali, le plaidoyer mené par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) pour l’opérationnalisation de la force mixte G5 Sahel, ou encore l’organisation de la conférence des femmes de la Francophonie à Bucarest», a conclu le Président Hery Rajaonarimampianina. Célébrée chaque 20 mars, la Journée internationale de la Francophonie rappelle la création de l’Agence de coopération culturelle et technique à Niamey Niger en 1970. Le thème de cette année « La langue française, notre trait d’union pour agir ». Andry Rialintsalama