L’année commence fort pour le Centre d’excellence en entrepreneuriat (Le Ceentre). Six conventions ont été signées avec des sociétés spécialisées dans les finances, la communication, des associations, des ONG, hier à l’Institut supérieur de la communication et des affaires et du management (ISCAM), à Ankadifotsy. Ces conventions concernent l’accompagnement et l’appui des jeunes dans la création et le développement de leur projet. Solidis accompagnera les petites et moyennes entreprises en matière de garantie complémentaire, et guidera aussi les jeunes en matière d’administration des entreprises. Le syndicat Patronal Malagasy (SPAM), les plus jeunes syndicats des entrepreneurs, contribueront à l’intégration des entreprises, dans le secteur formel. VanillaPay, une startup très active dans le monde du fintech soutient Le Ceentre dans l’utilisation des nouvelles technologies, pour les achats en ligne. Le World Wild Found a choisi de collaborer avec Le Ceentre, dans l’appui des différents projets environnementaux. La Pépinière de Toamasina promeut le partage d’expériences entre les entrepreneurs. « L’animation, la formation et l’accompagnement sont essentiels pour les jeunes entrepreneurs. Le Ceentre à lui tout seul, ne peut pas développer l’entrepreneuriat, mais nous avons besoin de financement et de collaboration avec les spécialistes de formation dans les régions ainsi que des concours sélectionnant les jeunes favoris en entrepreneuriat. La raison de cette collaboration est que, souvent on nous reproche de faire seulement de la communication, mais le travail n’est pas réalisé. Nous avons besoin de plusieurs personnes avec des spécialités différentes pour améliorer la situation », explique Riveltd Rakotomanana, directeur exécutif de Le Ceentre.
L’année commence fort pour le Centre d’excellence en entrepreneuriat (Le Ceentre). Six conventions ont été signées avec des sociétés spécialisées dans les finances, la communication, des associations, des ONG, hier à l’Institut supérieur de la communication et des affaires et du management (ISCAM), à Ankadifotsy. Ces conventions concernent l’accompagnement et l’appui des jeunes dans la création et le développement de leur projet. Solidis accompagnera les petites et moyennes entreprises en matière de garantie complémentaire, et guidera aussi les jeunes en matière d’administration des entreprises. Le syndicat Patronal Malagasy (SPAM), les plus jeunes syndicats des entrepreneurs, contribueront à l’intégration des entreprises, dans le secteur formel. VanillaPay, une startup très active dans le monde du fintech soutient Le Ceentre dans l’utilisation des nouvelles technologies, pour les achats en ligne. Le World Wild Found a choisi de collaborer avec Le Ceentre, dans l’appui des différents projets environnementaux. La Pépinière de Toamasina promeut le partage d’expériences entre les entrepreneurs. « L’animation, la formation et l’accompagnement sont essentiels pour les jeunes entrepreneurs. Le Ceentre à lui tout seul, ne peut pas développer l’entrepreneuriat, mais nous avons besoin de financement et de collaboration avec les spécialistes de formation dans les régions ainsi que des concours sélectionnant les jeunes favoris en entrepreneuriat. La raison de cette collaboration est que, souvent on nous reproche de faire seulement de la communication, mais le travail n’est pas réalisé. Nous avons besoin de plusieurs personnes avec des spécialités différentes pour améliorer la situation », explique Riveltd Rakotomanana, directeur exécutif de Le Ceentre.