Alors que quatre nouvelles secousses supérieures à quatre sur l'échelle de Richter ont été enregistrées dimanche et lundi à Mayotte, la préfecture a annoncé, avant- hier une modification du dispositif de suivi du phénomène. Alors que les séismes se sont multipliés au mois de mai, c'est en effet un suivi «de crise» qui était en vigueur, avec des points de situation quotidien. Une accalmie étant observée depuis le mois de juin -bien que l'essaim soit toujours actif-, les services de l'État ont décidé de passer à un suivi «habituel», avec des points d'information tout les quinze jours. En cas de séisme ressenti significativement (comme avant le début de l'activité en essaim) ou en cas de recrudescence notable de l'activité sismique, un point sera de nouveau fait et diffusé selon les modalités d'alors. «Les stations sismiques actuellement en place et utilisées pour le suivi sismologique sont toujours opérationnelles et enregistrent la sismicité en continu», précise la préfecture. © JIR
Alors que quatre nouvelles secousses supérieures à quatre sur l'échelle de Richter ont été enregistrées dimanche et lundi à Mayotte, la préfecture a annoncé, avant- hier une modification du dispositif de suivi du phénomène. Alors que les séismes se sont multipliés au mois de mai, c'est en effet un suivi «de crise» qui était en vigueur, avec des points de situation quotidien. Une accalmie étant observée depuis le mois de juin -bien que l'essaim soit toujours actif-, les services de l'État ont décidé de passer à un suivi «habituel», avec des points d'information tout les quinze jours. En cas de séisme ressenti significativement (comme avant le début de l'activité en essaim) ou en cas de recrudescence notable de l'activité sismique, un point sera de nouveau fait et diffusé selon les modalités d'alors. «Les stations sismiques actuellement en place et utilisées pour le suivi sismologique sont toujours opérationnelles et enregistrent la sismicité en continu», précise la préfecture. © JIR