Polémique. Depuis plus d’une semaine, le positionnement de la Grande île en terme de vitesse de la connexion internet haut débit divise les opinions sur la toile. « La vitesse de l’internet haut débit serait deux fois et demie supérieure à Madagascar à la moyenne internationale, ce qui positionne le pays en tête sur le continent noir en avançant de plus de soixante-sept places. Mettant l’île rouge à la vingt deuxième position mondiale, devançant la France qui est placée juste derrière ». Une affirmation annoncée par M-Lab qui est une plateforme de recherche composée de l’America's Open Technology Institute, de Google Open Source Research, de Princeton University's PlanetLab et d’autres parties prenantes impliquées dans le secteur des télécommunications. L’origine de cette performance grimpant en flèche est attribuée à la connexion de Madagascar à l’East Africa, Submarin System (EASSy) un câble sous-marin de plus de 10 000 km reliant par la fibre optique le Soudan à l’Afrique du Sud. Une infrastructure rendue possible grâce à la participation du groupe Axian au consortium EASSy depuis le début de cette décennie. Des performances qui peinent pourtant à se faire ressentir dans le quotidien d’un bon nombre d’utilisateurs malgaches d’internet. « Par moment, nous profitons d’un réel internet au débit. Mais la plupart du temps, la connexion représente un des facteurs de ralentissement de notre production journalière », déplore un gérant de centre de traitement de données informatiques.
Polémique. Depuis plus d’une semaine, le positionnement de la Grande île en terme de vitesse de la connexion internet haut débit divise les opinions sur la toile. « La vitesse de l’internet haut débit serait deux fois et demie supérieure à Madagascar à la moyenne internationale, ce qui positionne le pays en tête sur le continent noir en avançant de plus de soixante-sept places. Mettant l’île rouge à la vingt deuxième position mondiale, devançant la France qui est placée juste derrière ». Une affirmation annoncée par M-Lab qui est une plateforme de recherche composée de l’America's Open Technology Institute, de Google Open Source Research, de Princeton University's PlanetLab et d’autres parties prenantes impliquées dans le secteur des télécommunications. L’origine de cette performance grimpant en flèche est attribuée à la connexion de Madagascar à l’East Africa, Submarin System (EASSy) un câble sous-marin de plus de 10 000 km reliant par la fibre optique le Soudan à l’Afrique du Sud. Une infrastructure rendue possible grâce à la participation du groupe Axian au consortium EASSy depuis le début de cette décennie. Des performances qui peinent pourtant à se faire ressentir dans le quotidien d’un bon nombre d’utilisateurs malgaches d’internet. « Par moment, nous profitons d’un réel internet au débit. Mais la plupart du temps, la connexion représente un des facteurs de ralentissement de notre production journalière », déplore un gérant de centre de traitement de données informatiques.