Des paysans ont recours au prêt bancaire pour développer leur projet agricole et/ou d’élevage. « Cette opération nous permet de construire une petite ferme, de nous fournir des poussins, d’acheter des vaccins et des nourritures pour les animaux jusqu’à ce qu’ils soient prêts à être mis sur le marché. Sans ce crédit, on ne pourra pas s’investir dans un quelconque projet. Un tel projet nécessite des millions d’ariary », lance Béatrice Ramarohavana, une femme qui pratique l’élevage de « akoho gasy », hier. Des institutions financières, comme l’Otiv Tanà, offrent aux paysans une facilité d’accès à ses offres. Ce dernier projette, incessamment, d’opérationnaliser des agents bancaires dans des zones où des caisses Otiv n’existent pas, pour plus de proximité avec ses membres qui comptent, actuellement, trois cent mille. « Nous prévoyons de travailler avec des pharmacies, des station-services ou des commerçants dans ce projet. Ils vont servir d’agents bancaires pour assurer les opérations, à savoir, le dépôt, le prêt. Les membres n’auront plus à se déplacer vers une caisse pour faire une opération, grâce à ces agents bancaires», informe Ravaka Andriamparivony, responsable auprès de l’Otiv Tanà, dans le cadre d’une activité de reboisement annuelle de l’institution à Imerintsiatosika. Cette offre n’est pas, seulement valable dans les milieux ruraux, mais également, dans les villes, là où il n’y a pas de caisse.
Des paysans ont recours au prêt bancaire pour développer leur projet agricole et/ou d’élevage. « Cette opération nous permet de construire une petite ferme, de nous fournir des poussins, d’acheter des vaccins et des nourritures pour les animaux jusqu’à ce qu’ils soient prêts à être mis sur le marché. Sans ce crédit, on ne pourra pas s’investir dans un quelconque projet. Un tel projet nécessite des millions d’ariary », lance Béatrice Ramarohavana, une femme qui pratique l’élevage de « akoho gasy », hier. Des institutions financières, comme l’Otiv Tanà, offrent aux paysans une facilité d’accès à ses offres. Ce dernier projette, incessamment, d’opérationnaliser des agents bancaires dans des zones où des caisses Otiv n’existent pas, pour plus de proximité avec ses membres qui comptent, actuellement, trois cent mille. « Nous prévoyons de travailler avec des pharmacies, des station-services ou des commerçants dans ce projet. Ils vont servir d’agents bancaires pour assurer les opérations, à savoir, le dépôt, le prêt. Les membres n’auront plus à se déplacer vers une caisse pour faire une opération, grâce à ces agents bancaires», informe Ravaka Andriamparivony, responsable auprès de l’Otiv Tanà, dans le cadre d’une activité de reboisement annuelle de l’institution à Imerintsiatosika. Cette offre n’est pas, seulement valable dans les milieux ruraux, mais également, dans les villes, là où il n’y a pas de caisse.