Trois projets sont déjà prêts et cherchent des partenaires financiers. 60 millions de dollars sont à trouver pour couvrir l’ensemble de cette collaboration entre la FAO (Organisation des nations unies pour l’Alimentation) et le gouvernement malgache, qui couvrira la période 2018-2021. « La mise à jour des statistiques agricoles dont les dernières datent de 2004, la lutte contre les chenilles légionnaires d’automne qui ravagent les plantations de maïs et enfin le troisième qui consiste à des actions de restauration des paysages forestiers, sont déjà des projets ficelés mais qui attendent la mobilisation des ressources encore nécessaires à leur exécution», précise Harison Randriarimanana, ministre en charge de l’Agriculture et de l’élevage à l’issue de la signature du cadre programmation pays (CPP), hier au Carlton. « La FAO n’est pas un bailleur de fonds mais appuie techniquement le gouvernement dans la réalisation des objectifs fixés dans le CPP », indique pour sa part, Patrice Talla Takoukam, représentant de la FAO à Madagascar, Comores, Maurice et Seychelles. Le gouvernement et la FAO lancent ainsi un appel à mobilisation des ressources afin de concrétiser les interventions, jugées comme présentant des enjeux majeurs pour l’émergence de tout le pays. Trois piliers composent le cadre de programmation pays (CPP) pour Madagascar avec la FAO. Les résultats précédents du CPP 2015-2019 ont été repris pour établir de nouvelles priorités. Mirana Ihariliva
Trois projets sont déjà prêts et cherchent des partenaires financiers. 60 millions de dollars sont à trouver pour couvrir l’ensemble de cette collaboration entre la FAO (Organisation des nations unies pour l’Alimentation) et le gouvernement malgache, qui couvrira la période 2018-2021. « La mise à jour des statistiques agricoles dont les dernières datent de 2004, la lutte contre les chenilles légionnaires d’automne qui ravagent les plantations de maïs et enfin le troisième qui consiste à des actions de restauration des paysages forestiers, sont déjà des projets ficelés mais qui attendent la mobilisation des ressources encore nécessaires à leur exécution», précise Harison Randriarimanana, ministre en charge de l’Agriculture et de l’élevage à l’issue de la signature du cadre programmation pays (CPP), hier au Carlton. « La FAO n’est pas un bailleur de fonds mais appuie techniquement le gouvernement dans la réalisation des objectifs fixés dans le CPP », indique pour sa part, Patrice Talla Takoukam, représentant de la FAO à Madagascar, Comores, Maurice et Seychelles. Le gouvernement et la FAO lancent ainsi un appel à mobilisation des ressources afin de concrétiser les interventions, jugées comme présentant des enjeux majeurs pour l’émergence de tout le pays. Trois piliers composent le cadre de programmation pays (CPP) pour Madagascar avec la FAO. Les résultats précédents du CPP 2015-2019 ont été repris pour établir de nouvelles priorités. Mirana Ihariliva