Les cours dans toutes les écoles de Tsaratanàna ont cessé depuis la semaine dernière à cause des crises d'Ambalavelona. Le ministère de l'Éducation nationale à travers la circonscription scolaire de la localité, a décidé de les fermer temporairement. Une trentaine de filles ont été affectées. La crise d'Ambalevolana s'est transmise aussi à des élèves d’autres écoles. « Des filles entre 13 à 17 ans criaient très fort et convulsaient. Elles n’ont plus la maitrise de leur corps. Et on ne pouvait pas les retenir. Cette étrange réaction s’est aussi manifestée chez une élève de l'école Fiangonan'i Jesoa Kritsy eto Madagasikara et s'est ensuite transmis à d’autres élèves du CEG et du lycée public », explique Armand Rabevahoaka, chef Cisco de Tsaratanàna. Il poursuit qu'on ne pouvait plus compter le nombre d’élèves atteints de cette crise d'Ambalavelona. Pour stopper les manifestations de crise, la Cisco a décidé de faire appel à des exorcistes de l’église catholique, FJKM et Luthérien pour chasser le mauvais esprit de ces élèves. « Nous avons conduit tous les élèves dans les églises. Une messe a été organisée dans les salles de classe où les incidents se sont produits, mardi. Ces enfants sont tous en bonne santé actuellement mais ils sont encore retenus dans des “Toby” », ajoute ce chef Cisco. Mamisoa Antonia
Les cours dans toutes les écoles de Tsaratanàna ont cessé depuis la semaine dernière à cause des crises d'Ambalavelona. Le ministère de l'Éducation nationale à travers la circonscription scolaire de la localité, a décidé de les fermer temporairement. Une trentaine de filles ont été affectées. La crise d'Ambalevolana s'est transmise aussi à des élèves d’autres écoles. « Des filles entre 13 à 17 ans criaient très fort et convulsaient. Elles n’ont plus la maitrise de leur corps. Et on ne pouvait pas les retenir. Cette étrange réaction s’est aussi manifestée chez une élève de l'école Fiangonan'i Jesoa Kritsy eto Madagasikara et s'est ensuite transmis à d’autres élèves du CEG et du lycée public », explique Armand Rabevahoaka, chef Cisco de Tsaratanàna. Il poursuit qu'on ne pouvait plus compter le nombre d’élèves atteints de cette crise d'Ambalavelona. Pour stopper les manifestations de crise, la Cisco a décidé de faire appel à des exorcistes de l’église catholique, FJKM et Luthérien pour chasser le mauvais esprit de ces élèves. « Nous avons conduit tous les élèves dans les églises. Une messe a été organisée dans les salles de classe où les incidents se sont produits, mardi. Ces enfants sont tous en bonne santé actuellement mais ils sont encore retenus dans des “Toby” », ajoute ce chef Cisco. Mamisoa Antonia