À cause des pluies incessantes lors des passages des cyclones, les rues de la capitale se trouvent dans un piteux état. L'intervention rapide était nécessaire. Pas à pas. 100% des travaux dans la première phase ont été effectués pour le moment selon le ministère des Travaux publics. La plupart des points noirs dans certains axes ont été recouverts de béton. « Nous essayons de trouver une solution pérenne face à la dégradation des rues dans le centre-ville. Il faut souligner que la réhabilitation des rues de la capitale ne s'affiche pas dans les tâches du ministère des Travaux publics mais suite aux dégâts cycloniques, nous avons dû nous engager dans la réhabilitation rapide de ces rues », explique Zafindravelo Anthonio Reboza, directeur régional des Travaux publics à Analamanga. Cinq axes font partie de cette première phase dont Iavoloha-Anosy, Anosy-Ampasika, Ampasika-Itaosy, Mahazoarivo-Ampandrana, Ambohijatovo Ambony-Andravoahangy Ambony. « Il ne s'agit pas de reconstruire en totalité les rues mais réparer d'urgence voire combler les grands trous. C'est la première phase et c'est nous qui programmons les travaux et faisons le devis à destination du Fonds d'Entretien Routier (FER). C'est un organisme rattaché au ministère des Travaux publics », ajoute-t-il. En totalité, les travaux de réparation d'urgence des rues de la capitale sont évalués à 2 milliards 600 millions ariary. Soutien Tous les travaux dépendent du fonds. Le Fonds d'entretien routier (FER) a pour mission le paiement des dossiers conformes aux procédures. Tous les actes opérés avant et après le paiement relèvent de la compétence du maître d'ouvrage qu'est le ministère des Travaux publics, d'après son site. C'est le ministère qui lance alors les appels d'offre aux différentes entreprises et maintient ainsi la planification de tous les travaux. Le FER s'engage dans la collecte des ressources de fonds. 90% de ces ressources proviennent des compagnies pétrolières et des usagers. La demande de diversification des ressources à l'Etat est en cours d’après l'information reçue. Les bailleurs de fonds, également, soutiennent Madagascar dans toutes les structures liées à l'entretien routier. Mamisoa Antonia
À cause des pluies incessantes lors des passages des cyclones, les rues de la capitale se trouvent dans un piteux état. L'intervention rapide était nécessaire. Pas à pas. 100% des travaux dans la première phase ont été effectués pour le moment selon le ministère des Travaux publics. La plupart des points noirs dans certains axes ont été recouverts de béton. « Nous essayons de trouver une solution pérenne face à la dégradation des rues dans le centre-ville. Il faut souligner que la réhabilitation des rues de la capitale ne s'affiche pas dans les tâches du ministère des Travaux publics mais suite aux dégâts cycloniques, nous avons dû nous engager dans la réhabilitation rapide de ces rues », explique Zafindravelo Anthonio Reboza, directeur régional des Travaux publics à Analamanga. Cinq axes font partie de cette première phase dont Iavoloha-Anosy, Anosy-Ampasika, Ampasika-Itaosy, Mahazoarivo-Ampandrana, Ambohijatovo Ambony-Andravoahangy Ambony. « Il ne s'agit pas de reconstruire en totalité les rues mais réparer d'urgence voire combler les grands trous. C'est la première phase et c'est nous qui programmons les travaux et faisons le devis à destination du Fonds d'Entretien Routier (FER). C'est un organisme rattaché au ministère des Travaux publics », ajoute-t-il. En totalité, les travaux de réparation d'urgence des rues de la capitale sont évalués à 2 milliards 600 millions ariary. Soutien Tous les travaux dépendent du fonds. Le Fonds d'entretien routier (FER) a pour mission le paiement des dossiers conformes aux procédures. Tous les actes opérés avant et après le paiement relèvent de la compétence du maître d'ouvrage qu'est le ministère des Travaux publics, d'après son site. C'est le ministère qui lance alors les appels d'offre aux différentes entreprises et maintient ainsi la planification de tous les travaux. Le FER s'engage dans la collecte des ressources de fonds. 90% de ces ressources proviennent des compagnies pétrolières et des usagers. La demande de diversification des ressources à l'Etat est en cours d’après l'information reçue. Les bailleurs de fonds, également, soutiennent Madagascar dans toutes les structures liées à l'entretien routier. Mamisoa Antonia