La police française pousse plus loin ses investigations, après que la dépouille de Andotiana, une jeune Malgache de vingt-trois ans, a été repêchée sur la Seine, dans les Yvelines le 4 février. Après l’identification du corps, les enquêteurs ont d’abord ouvert la thèse d’un suicide, laquelle ne tiendrait pas la route d’après la famille de la défunte du fait que cette dernière serait restée en contact avec ses proches et son petit copain resté à Madagascar, sans manifester ni inquiétudes ni soucis particuliers avant que cette tragédie ne l’arrache à la vie. Aux dernières nouvelles, les enquêteurs creusent actuellement la piste criminelle et élargissent leurs investigations sur un enlèvement et meurtre. Étudiante en Master I de sociologie à l’Université Paris Nanterre, elle est arrivée en France en 2016. L’étudiante habitait paisiblement à Rueil-Malmaison dans les Hauts-de-Seine, jusqu’à ce que sa disparition, remontant au 8 janvier, ne ronge d’inquiétude sa famille et ses amis. Ne sachant plus à quel saint se vouer, ces derniers ont multiplié des recherches et créé une page facebook au passage. La dépouille mortelle de la jeune défunte est attendue à l’aéroport international d’Ivato vendredi. Les funérailles sont prévues se dérouler lundi.
La police française pousse plus loin ses investigations, après que la dépouille de Andotiana, une jeune Malgache de vingt-trois ans, a été repêchée sur la Seine, dans les Yvelines le 4 février. Après l’identification du corps, les enquêteurs ont d’abord ouvert la thèse d’un suicide, laquelle ne tiendrait pas la route d’après la famille de la défunte du fait que cette dernière serait restée en contact avec ses proches et son petit copain resté à Madagascar, sans manifester ni inquiétudes ni soucis particuliers avant que cette tragédie ne l’arrache à la vie. Aux dernières nouvelles, les enquêteurs creusent actuellement la piste criminelle et élargissent leurs investigations sur un enlèvement et meurtre. Étudiante en Master I de sociologie à l’Université Paris Nanterre, elle est arrivée en France en 2016. L’étudiante habitait paisiblement à Rueil-Malmaison dans les Hauts-de-Seine, jusqu’à ce que sa disparition, remontant au 8 janvier, ne ronge d’inquiétude sa famille et ses amis. Ne sachant plus à quel saint se vouer, ces derniers ont multiplié des recherches et créé une page facebook au passage. La dépouille mortelle de la jeune défunte est attendue à l’aéroport international d’Ivato vendredi. Les funérailles sont prévues se dérouler lundi.