Basket-ball - L’Afroleague aux couleurs de la NBA


La Fiba Afrique et la NBA viennent de signer le partenariat sur la co-organisation de l’Afroleague. À partir de 2020, le nombre des clubs participants sera réduit à douze. InNovation dès la prochaine édition. La première phase ou Round of 16 du groupe D du championnat d’Afrique des clubs champions ou Afro­league a pris fin ce week-end au palais des sports à Mahamasina. Le responsable du département du développement du basketball NBA en Afrique, Michael Finley est de passage à Madagascar pour assister et observer ce premier tour de l’Afroleague sur le sol malgache. La signature du partenariat entre les deux instances a été effectuée ce dimanche à Charlotte Hornets aux Etats-Unis. « On est ici pour voir comment pourrons nous travailler ensemble », a indiqué ce responsable de la NBA Afrique. Ce dernier a rencontré ce dimanche le prési­dent de la fédération malgache de basketball, Jean Michel Ramaroson qui a aussi une responsabilté au sein de la Fiba Afrique. Ces deux hautes personnalités de la balle orange ont annoncé que l’Afroleague sera désormais organisée en étroite collaboration entre la Fiba Afrique et la NBA Afrique. À partir de 2020, la NBA prendra en main la compéititon, « les équipes participantes seront réduites à douze au lieu de seize de cette première édition. L’organisation ainsi que le coté technique seront de très haut niveau comme la ligue américaine », a indiqué le numéro un du basketball à Madagascar. Impressionné Le resposable de la NBA, Michael Finley a assisté à la dernière journée de l’Afro­league ce dimanche. « Vous avez de bons joueurs, vous avez un public passionné de la discipline et surtout vous avez un palais des sports, une infrastructure bien meilleure que ce qu’on a en Afrique du Sud », a fait remarquer l’Américain, Michael Finley. De son coté, le president de la Fédération malgache reconnait que « Madagascar a encore beacoup de travail à faire… On manque de technique, de physique et de rencontres internationles. Et les techniciens ont besoin de formation ». « Ne rêvons pas, ces trois équipes en lice à cet Afroleague sont toutes de professionnelles, il faut savoir tirer des leçons… Mais côté organisation par contre, on a apporté beaucoup d’améliorations, pour ne citer que la retransmission en direct des images dans toute l’Afrique », a-t-il précisé.
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