« Nous agissons pour le changement durable ». Cette phrase a été répétée plusieurs fois par les jeunes assistant à la conférence sur l’élimination de la pauvreté à l’Amphitéatre à Ankatso, hier. Les panélistes dont Monica Rodriguez, ambassadrice d’Agora Speaker, Ulrichia Rabefitiavana, une entrepreneure, Omer Kalameu, représentant du Haut commissariat des Droits de l’Homme ont exposé chacun la manière de lutter contre la pauvreté. Ils ont éclairé la lanterne des jeunes universitaires qui seront l’avenir de Madagascar sur les actions qui doivent être menées. Ulrichia Rabefitiavana s’est penché sur la réinvention de notre mode de production tout en répartissant nos richesses au bénéfice de tout un chacun. « Il faut encourager les entreprises tout en respectant les normes de travail, contribuer à la création de richesse mais pas seulement à la recherches de profit », a-t-elle souligné. Omer Kalmeu, quant à lui a rappelé les principes des Droits de l’Homme qui riment avec la lutte contre la pauvreté. Les principes de l’égalité, de la non-discrimination, de la participation qualitative et quantitative ont été rappelés pour éviter l’exclusion sociale. Aider sa communauté locale est important surtout pour les jeunes. « A mon avis, l’éducation est le plus grand pilier de développement dans notre pays. Et en tant que citoyen, j’ai aussi envie d’aider mes compatriotes surtout les enfants des bas-quartiers afin de pouvoir réaliser leurs rêves. C’est la première activité que je voudrais lancer en décembre. Cette action peut être une goutte d’eau dans la mer et qu’on ne peut apercevoir les résultats que dans cinq ans mais c’est déjà une participation pour l’élimination de la pauvreté », affirme Ndriandahy Ombatsoa, membre de la jeune chambre international Iarivo.
« Nous agissons pour le changement durable ». Cette phrase a été répétée plusieurs fois par les jeunes assistant à la conférence sur l’élimination de la pauvreté à l’Amphitéatre à Ankatso, hier. Les panélistes dont Monica Rodriguez, ambassadrice d’Agora Speaker, Ulrichia Rabefitiavana, une entrepreneure, Omer Kalameu, représentant du Haut commissariat des Droits de l’Homme ont exposé chacun la manière de lutter contre la pauvreté. Ils ont éclairé la lanterne des jeunes universitaires qui seront l’avenir de Madagascar sur les actions qui doivent être menées. Ulrichia Rabefitiavana s’est penché sur la réinvention de notre mode de production tout en répartissant nos richesses au bénéfice de tout un chacun. « Il faut encourager les entreprises tout en respectant les normes de travail, contribuer à la création de richesse mais pas seulement à la recherches de profit », a-t-elle souligné. Omer Kalmeu, quant à lui a rappelé les principes des Droits de l’Homme qui riment avec la lutte contre la pauvreté. Les principes de l’égalité, de la non-discrimination, de la participation qualitative et quantitative ont été rappelés pour éviter l’exclusion sociale. Aider sa communauté locale est important surtout pour les jeunes. « A mon avis, l’éducation est le plus grand pilier de développement dans notre pays. Et en tant que citoyen, j’ai aussi envie d’aider mes compatriotes surtout les enfants des bas-quartiers afin de pouvoir réaliser leurs rêves. C’est la première activité que je voudrais lancer en décembre. Cette action peut être une goutte d’eau dans la mer et qu’on ne peut apercevoir les résultats que dans cinq ans mais c’est déjà une participation pour l’élimination de la pauvreté », affirme Ndriandahy Ombatsoa, membre de la jeune chambre international Iarivo.