Madagascar accueille de nouveau une conférence internationale. Une rencontre pour trouver ensemble des solutions pour le développement économique. Organisée par l’Alliance pour la paix et la refondation nationale (APRN), Association for Free research and international coopération (AFRIC) en partenariat avec l’Afrique Media TV, la première édition du forum économique international a commencé hier au centre de conférence internationale (CCI) Ivato. Une rencontre qui a vu la participation des entreprises et institutions, des hommes d’affaires, des invités étrangers et des économistes célèbres d’Afrique comme des participants venant de la Côte d’Ivoire, du Sénégal, du Cameroun, de la République démocratique du Congo et d’autres pays comme l’Inde, de la Turquie. Le thème principal choisi pour cette première édition s’intitule «Madagascar et les pays d’Afrique : l’image du futur». Six cent participants ont été attendus lors de cette rencontre. Le programme de la première journée a été divisé en deux parties avec une séance plénière durant la matinée où ont lieu la représentation et les rapports des intervenants sur l’avenir de Madagascar : les défis, les stratégies et les mécanismes pour réussir. D’autres experts africains ont également exposé leur point de vue concernant le continent d’Afrique. «Nous espérons qu’à partir de ce forum nous trouverons une démarche pour mettre en place un système et une stratégie pour la croissance économique de l’Afrique», souligne Simon Ndomilep Bassilekin, enseignant en économie prospective. La deuxième partie pour l’après-midi se focalise sur un travail en cinq sections spécialisées en discussions et débats autour desquels les participants ont été regroupés. Chaque section traite un thème afin de trouver des solutions qui figureront dans la résolution finale à la fin du forum. Divers sujets ont été évoqués comme le problème de corruption à Madagascar, les points de développement potentiels de Madagascar, les conditions nécessaires pour les capitaux étrangers dans le but d’attirer des investissements internationaux, les problèmes de sphère sociale et d’éducation l’avenir de la jeunesse malgache, l’héritage colonial de Madagascar et des pays africains. Partage de vision Pour Madagascar, ce forum se distingue par la participation de cinq candidats à la prochaine élection présidentielle comme les deux anciens premiers ministres malgaches Jean Ravelonarivo, et Jean Omer Beriziky, Zafimahaleo Rasolofondraosolo, ex vice-président de l’assemblée nationale, Pasteur André Christian Dieudonné Mailhol président fondateur du parti GFFM et Saraha Rabeharisoa, président du parti libéral-démocrate. Ils ont exposé leur vision et leurs stratégies pour le développement économique du pays durant la séance plénière. Les problèmes liés à l’infrastructure comme le transport terrestre, routier et ferroviaire ont été soulevés. À cela s’ajoutent les obstacles majeurs comme l’instabilité politique et économique due aux faiblesses et inefficacités gouvernementales, la faible employabilité de la population active et le blocage qui empêchent le développement du secteur agricole. «Pour assurer le développement économique du pays, il faut trouver les solutions adéquates aux divers secteurs comme le tourisme, l’agriculture, les mines et les ressources halieutiques», affirme Jean Ravelonarivo lors de son intervention. Ce forum se terminera ce jour. Sandra Miora Hafalianavalona
Madagascar accueille de nouveau une conférence internationale. Une rencontre pour trouver ensemble des solutions pour le développement économique. Organisée par l’Alliance pour la paix et la refondation nationale (APRN), Association for Free research and international coopération (AFRIC) en partenariat avec l’Afrique Media TV, la première édition du forum économique international a commencé hier au centre de conférence internationale (CCI) Ivato. Une rencontre qui a vu la participation des entreprises et institutions, des hommes d’affaires, des invités étrangers et des économistes célèbres d’Afrique comme des participants venant de la Côte d’Ivoire, du Sénégal, du Cameroun, de la République démocratique du Congo et d’autres pays comme l’Inde, de la Turquie. Le thème principal choisi pour cette première édition s’intitule «Madagascar et les pays d’Afrique : l’image du futur». Six cent participants ont été attendus lors de cette rencontre. Le programme de la première journée a été divisé en deux parties avec une séance plénière durant la matinée où ont lieu la représentation et les rapports des intervenants sur l’avenir de Madagascar : les défis, les stratégies et les mécanismes pour réussir. D’autres experts africains ont également exposé leur point de vue concernant le continent d’Afrique. «Nous espérons qu’à partir de ce forum nous trouverons une démarche pour mettre en place un système et une stratégie pour la croissance économique de l’Afrique», souligne Simon Ndomilep Bassilekin, enseignant en économie prospective. La deuxième partie pour l’après-midi se focalise sur un travail en cinq sections spécialisées en discussions et débats autour desquels les participants ont été regroupés. Chaque section traite un thème afin de trouver des solutions qui figureront dans la résolution finale à la fin du forum. Divers sujets ont été évoqués comme le problème de corruption à Madagascar, les points de développement potentiels de Madagascar, les conditions nécessaires pour les capitaux étrangers dans le but d’attirer des investissements internationaux, les problèmes de sphère sociale et d’éducation l’avenir de la jeunesse malgache, l’héritage colonial de Madagascar et des pays africains. Partage de vision Pour Madagascar, ce forum se distingue par la participation de cinq candidats à la prochaine élection présidentielle comme les deux anciens premiers ministres malgaches Jean Ravelonarivo, et Jean Omer Beriziky, Zafimahaleo Rasolofondraosolo, ex vice-président de l’assemblée nationale, Pasteur André Christian Dieudonné Mailhol président fondateur du parti GFFM et Saraha Rabeharisoa, président du parti libéral-démocrate. Ils ont exposé leur vision et leurs stratégies pour le développement économique du pays durant la séance plénière. Les problèmes liés à l’infrastructure comme le transport terrestre, routier et ferroviaire ont été soulevés. À cela s’ajoutent les obstacles majeurs comme l’instabilité politique et économique due aux faiblesses et inefficacités gouvernementales, la faible employabilité de la population active et le blocage qui empêchent le développement du secteur agricole. «Pour assurer le développement économique du pays, il faut trouver les solutions adéquates aux divers secteurs comme le tourisme, l’agriculture, les mines et les ressources halieutiques», affirme Jean Ravelonarivo lors de son intervention. Ce forum se terminera ce jour. Sandra Miora Hafalianavalona