Faim zéro à condition d’agir maintenant. C’est sur ce thème que l’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a rassemblé les représentants des secteurs privés et publics, hier, dans le cadre de la célébration de la journée mondiale de l’alimentation, au siège de la FAO à Ankorahotra. « Il existe une chaîne de valeur. Il consiste en un travail à la chaîne depuis les agriculteurs jusqu’à l’exportation. Le problème actuel se situe sur le manque de moyen. Il faut appuyer le secteur privé et demander aussi à l’État de mettre en place des infrastructures adéquates, des barrages d’eau », affirme Rija Ranaivoson, coordonateur du projet Presan. Les secteurs privés ont participé activement dans le but de réaliser des actions concrètes par rapport à des stratégies déjà élaborées, comme le Groupe Prey. Il a été fortement souligné par l’un des participants qu’il n’y a que la coordination des actions qui peut donner un bon résultat. Il s’agit d’objectif commun. Au lieu de lancer des activités dans chaque ministère dans différentes interventions, les acteurs doivent agir ensemble et planifier toutes les activités.
Faim zéro à condition d’agir maintenant. C’est sur ce thème que l’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a rassemblé les représentants des secteurs privés et publics, hier, dans le cadre de la célébration de la journée mondiale de l’alimentation, au siège de la FAO à Ankorahotra. « Il existe une chaîne de valeur. Il consiste en un travail à la chaîne depuis les agriculteurs jusqu’à l’exportation. Le problème actuel se situe sur le manque de moyen. Il faut appuyer le secteur privé et demander aussi à l’État de mettre en place des infrastructures adéquates, des barrages d’eau », affirme Rija Ranaivoson, coordonateur du projet Presan. Les secteurs privés ont participé activement dans le but de réaliser des actions concrètes par rapport à des stratégies déjà élaborées, comme le Groupe Prey. Il a été fortement souligné par l’un des participants qu’il n’y a que la coordination des actions qui peut donner un bon résultat. Il s’agit d’objectif commun. Au lieu de lancer des activités dans chaque ministère dans différentes interventions, les acteurs doivent agir ensemble et planifier toutes les activités.