Transport urbain - La chasse aux taxis clandestins ouverte


La poursuite des taxi-clandestins a repris. L'asso­ciation des taxis d'Antananarivo-Renivohitra (FTAR), en collaboration avec la Police nationale, a débuté l'opération chasse au taxis-clandestins sur la rue Boulevard de l’Europe à Tsaramasay, hier. « Nous allons renforcer la poursuite des clandestins si nous ne l'avons achevée avant. Nous avons reçu des plaintes des stationnements de taxis d'Anta­nanarivo sur l'augmentation des taxi-clandestins qui travaillent jour et nuit. C'est à cause de ces plaintes que nous avons décidé de continuer la poursuite des taxi-clandestins », affirme Clémence Raharinirina, président de la FTAR. Pénalisation Des voitures de plaisir, des voitures express ou portant la couleur beige crème s'autorisent à jouer le rôle de taxis. La pénalisation ne se limite plus à une mise en fourrière, à un paiement d'une amende mais jusqu'à la poursuite en justice. « Nous ne resterons plus sur les pénalisations habituelles car l'association a toujours lutté contre les taxis-clandestins. Des législateurs ont été appelés pour travailler avec l'association », ajoute-t-elle. Il y a six mois, une trentaine de taxis-clandestins ont été surpris en circulant dans les rues de la capitale. L’asso­ciation FTAR fera une descente inopinée dans les stationnements de taxis à Antananarivo-Renivohitra.
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