Le match retour entre Fosa Juniors Boeny et l’Aduana Stars, comptant pour la deuxième étape des seizièmes de finale en Coupe de la CAF, sera dirigé par un trio comorien, à savoir Ali Mohamed Adelaid, Hamadi Houssein Ibrahim et Said Omar Chebli. Leurs prestations seront scrutées de près pour la rencontre de ce mercredi, au stade Alexandre Rabemananjara de Mahajanga, après le scénario de la première confrontation. À l’aller, Fosa Juniors avait perdu six buts à un. Le club ghanéen avait bénéficié de trois pénalties. S’il y avait bien faute sur le premier, les deux autres étaient « nettement discutables », avaient alors martelé les Majungais à leur arrivée à Ivato, mardi dernier. Ils avaient également pointé du doigt l’arbitrage, affirmant que les deux derniers buts étaient entachés de positions de hors-jeu. Pour espérer renverser la vapeur, le vainqueur de la Telma Coupe de Madagascar doit marquer au moins cinq buts ce mercredi, marquant toute l’ampleur de la tâche. Mais chez Fosa Juniors, on garde tout de même espoir, soulignant que « rien n’est impossible en football ». Haja Lucas Rakotondrazaka
Le match retour entre Fosa Juniors Boeny et l’Aduana Stars, comptant pour la deuxième étape des seizièmes de finale en Coupe de la CAF, sera dirigé par un trio comorien, à savoir Ali Mohamed Adelaid, Hamadi Houssein Ibrahim et Said Omar Chebli. Leurs prestations seront scrutées de près pour la rencontre de ce mercredi, au stade Alexandre Rabemananjara de Mahajanga, après le scénario de la première confrontation. À l’aller, Fosa Juniors avait perdu six buts à un. Le club ghanéen avait bénéficié de trois pénalties. S’il y avait bien faute sur le premier, les deux autres étaient « nettement discutables », avaient alors martelé les Majungais à leur arrivée à Ivato, mardi dernier. Ils avaient également pointé du doigt l’arbitrage, affirmant que les deux derniers buts étaient entachés de positions de hors-jeu. Pour espérer renverser la vapeur, le vainqueur de la Telma Coupe de Madagascar doit marquer au moins cinq buts ce mercredi, marquant toute l’ampleur de la tâche. Mais chez Fosa Juniors, on garde tout de même espoir, soulignant que « rien n’est impossible en football ». Haja Lucas Rakotondrazaka