Entre le rap et l’humour, il n’y a qu’un pas. C’est ce que cet évènement unique en son genre qu’est « Tsik’N’Rap» a ainsi illustré dans la jovialité et la convivialité la plus totale au Fili’in Antsakaviro dans la soirée du vendredi. Conciliant du « stand up comedy » avec du hip hop, ce rendez-vous organisé par les jeunes de la quatrième promotion du « Youth cultural leadership training » (YCLT) un programme de l’ONG Saint Raphael, a donc rassemblé un florilège d’artistes sur la même scène. D’un côté on a les humoristes, amenés par ce grand gaillard taquin et imposant qu’est Finengo Mahasaky et les jeunes humoristes du Mad Comedy Club. De l’autre, on a deux personnalités tout aussi imposantes de la scène rap nationale, la rappeuse Farah et le rappeur Tax Bouta. C’est vers 21 h que débuta alors ce concert rap inédit, avec la slameuse Na Hassi en maîtresse de cérémonie pour l’occasion. Pour bien briser la glace comme on dit, c’est aux humoristes d’ouvrir la scène. Dans la majorité, c’est autour du rap, de la musique urbaine et de la culture hip hop que se tournaient généralement les bonnes blagues. D’autant plus que dans l’assistance, plusieurs sommités du rap malgache ont honoré la soirée de leur présence. Notamment, X-Tah et Ben J du groupe Da Hopp, Tongue Nat et Bambs, mais aussi MC Tiga Nagar et Big Jim Dah. « Le rap est un genre musical qui me surprendra toujours, notamment à cause des rappeurs eux-mêmes que je soupçonne de ne jamais prendre en considération la météo dans leur clip. Pourquoi portent-ils toujours des sweats à capuche épais, alors qu’à leurs côtés les filles sont toujours en bikini ? » lance entres autres Finengo Mahasaky en surnommant l’évènement « Chicken rap » aussi au passage. La rappeuse Farah rentre par la suite en scène, présentant au public son nouveau morceau intitulé « Isika roa », ainsi que quelques-uns de ses titres les plus connus. Pareil pour Tax Bouta, que les inconditionnels connaissent aussi comme étant l’un des piliers du groupe Rapadango. Un franc succès, « Tsik’n’Rap » s’est aussi illustré comme une levée de fonds pour les futures activités de la 4e promotion du YCLT.
Entre le rap et l’humour, il n’y a qu’un pas. C’est ce que cet évènement unique en son genre qu’est « Tsik’N’Rap» a ainsi illustré dans la jovialité et la convivialité la plus totale au Fili’in Antsakaviro dans la soirée du vendredi. Conciliant du « stand up comedy » avec du hip hop, ce rendez-vous organisé par les jeunes de la quatrième promotion du « Youth cultural leadership training » (YCLT) un programme de l’ONG Saint Raphael, a donc rassemblé un florilège d’artistes sur la même scène. D’un côté on a les humoristes, amenés par ce grand gaillard taquin et imposant qu’est Finengo Mahasaky et les jeunes humoristes du Mad Comedy Club. De l’autre, on a deux personnalités tout aussi imposantes de la scène rap nationale, la rappeuse Farah et le rappeur Tax Bouta. C’est vers 21 h que débuta alors ce concert rap inédit, avec la slameuse Na Hassi en maîtresse de cérémonie pour l’occasion. Pour bien briser la glace comme on dit, c’est aux humoristes d’ouvrir la scène. Dans la majorité, c’est autour du rap, de la musique urbaine et de la culture hip hop que se tournaient généralement les bonnes blagues. D’autant plus que dans l’assistance, plusieurs sommités du rap malgache ont honoré la soirée de leur présence. Notamment, X-Tah et Ben J du groupe Da Hopp, Tongue Nat et Bambs, mais aussi MC Tiga Nagar et Big Jim Dah. « Le rap est un genre musical qui me surprendra toujours, notamment à cause des rappeurs eux-mêmes que je soupçonne de ne jamais prendre en considération la météo dans leur clip. Pourquoi portent-ils toujours des sweats à capuche épais, alors qu’à leurs côtés les filles sont toujours en bikini ? » lance entres autres Finengo Mahasaky en surnommant l’évènement « Chicken rap » aussi au passage. La rappeuse Farah rentre par la suite en scène, présentant au public son nouveau morceau intitulé « Isika roa », ainsi que quelques-uns de ses titres les plus connus. Pareil pour Tax Bouta, que les inconditionnels connaissent aussi comme étant l’un des piliers du groupe Rapadango. Un franc succès, « Tsik’n’Rap » s’est aussi illustré comme une levée de fonds pour les futures activités de la 4e promotion du YCLT.