« Défenseur du peuple ». C'est en ces termes que se définit la médiature de la République, qui a remis, hier, son rapport annuel au gouvernement représenté par le ministre de l'Économie et du Plan, le Général de Corps d’Armée Herilanto Raveloharison, ainsi qu'à deux autres institutions à savoir la Haute Cour Constitutionnelle et la Commission électorale nationale indépendante. Dans ce rapport, le médiateur de la République, Monique Andréas Esoavelomandroso, indique une baisse des dossiers traités en 2016 par rapport à 2015. Entre autres, on y indique une baisse de 26,08% soit cent trente six dossiers traités en 2016 et cent quatre vingt quatre en 2015. Dans le rapport, les dossiers sont classés en plusieurs catégories : la pension de retraite, le dysfonctionnement administratif, les litiges fonciers, le dysfonctionnement judiciaire ou encore le litige politique et les problèmes d'héritage. Dans son allocution, Monique Andréas Esoavelomandroso précise que la médiature de la République n'a pas vocation à traiter des dossiers concernant les infractions financières touchant la gestion du budget de l'État, ni ceux relatifs aux éventuelles pratiques jugées non conformes aux dispositions constitutionnelles. Elle a également soulevé le fait que l'existence de nombreuses entités publiques et privées exerçant essentiellement dans le domaine de la sauvegarde et de la promotion des droits de l'Homme peut remettre en question la raison d'être de la médiature de la République. L.R.
« Défenseur du peuple ». C'est en ces termes que se définit la médiature de la République, qui a remis, hier, son rapport annuel au gouvernement représenté par le ministre de l'Économie et du Plan, le Général de Corps d’Armée Herilanto Raveloharison, ainsi qu'à deux autres institutions à savoir la Haute Cour Constitutionnelle et la Commission électorale nationale indépendante. Dans ce rapport, le médiateur de la République, Monique Andréas Esoavelomandroso, indique une baisse des dossiers traités en 2016 par rapport à 2015. Entre autres, on y indique une baisse de 26,08% soit cent trente six dossiers traités en 2016 et cent quatre vingt quatre en 2015. Dans le rapport, les dossiers sont classés en plusieurs catégories : la pension de retraite, le dysfonctionnement administratif, les litiges fonciers, le dysfonctionnement judiciaire ou encore le litige politique et les problèmes d'héritage. Dans son allocution, Monique Andréas Esoavelomandroso précise que la médiature de la République n'a pas vocation à traiter des dossiers concernant les infractions financières touchant la gestion du budget de l'État, ni ceux relatifs aux éventuelles pratiques jugées non conformes aux dispositions constitutionnelles. Elle a également soulevé le fait que l'existence de nombreuses entités publiques et privées exerçant essentiellement dans le domaine de la sauvegarde et de la promotion des droits de l'Homme peut remettre en question la raison d'être de la médiature de la République. L.R.