Montrer l’exemple. C’est dans cet ordre que WWF Madagascar a sauté le pas en adoptant l’énergie solaire dans un de ses principaux bureaux. En collaboration avec une société chinoise Trina Solar, le bureau de WWF Madagascar à Antsakaviro a pu bénéficier de plus d’une cinquantaine de panneaux solaires disposant d’une capacité de 12 kWh grâce à une installation dite «on grid». Ainsi, la combinaison toute simple de panneaux solaires-onduleurs reste couplée sur les installations de la compagnie d’électricité locale, pour permettre à une grande partie des appareils de fonctionner à l’énergie solaire. « L’installation permet à notre siège de produire plus d’électricité qu’il n’en consomme. C’est pour cette raison que l’on injecte le reste non-utilisé au réseau de la Jirama ce qui, au final, est avantageux pour les deux parties. L’onduleur nous informe tous les jours de la production en kWh mais aussi de la réduction de CO2 qui en découle. Par exemple, à la date du 2 décembre 2018, nous avons produit 53 kWh et avons ainsi réduit notre émission de CO2 de 37,5 kg », explique Zina Rakotoarisoa, du WWF Madagascar. Un basculement à l’énergie propre qui permet à l’organisme de souligner l’impact écologique de cette méthode permettant de mettre en pratique ce que WWF prône, puisque le bureau a pu réduire notablement son émission de CO2 depuis.
Montrer l’exemple. C’est dans cet ordre que WWF Madagascar a sauté le pas en adoptant l’énergie solaire dans un de ses principaux bureaux. En collaboration avec une société chinoise Trina Solar, le bureau de WWF Madagascar à Antsakaviro a pu bénéficier de plus d’une cinquantaine de panneaux solaires disposant d’une capacité de 12 kWh grâce à une installation dite «on grid». Ainsi, la combinaison toute simple de panneaux solaires-onduleurs reste couplée sur les installations de la compagnie d’électricité locale, pour permettre à une grande partie des appareils de fonctionner à l’énergie solaire. « L’installation permet à notre siège de produire plus d’électricité qu’il n’en consomme. C’est pour cette raison que l’on injecte le reste non-utilisé au réseau de la Jirama ce qui, au final, est avantageux pour les deux parties. L’onduleur nous informe tous les jours de la production en kWh mais aussi de la réduction de CO2 qui en découle. Par exemple, à la date du 2 décembre 2018, nous avons produit 53 kWh et avons ainsi réduit notre émission de CO2 de 37,5 kg », explique Zina Rakotoarisoa, du WWF Madagascar. Un basculement à l’énergie propre qui permet à l’organisme de souligner l’impact écologique de cette méthode permettant de mettre en pratique ce que WWF prône, puisque le bureau a pu réduire notablement son émission de CO2 depuis.