Problématique. Les réalités professionnelles en matière de production de l’électricité ont été abordées durant deux jours par les clubs des électriciens de l’océan Indien. Hier et avant-hier, les représentants des sociétés nationales producteurs et fournisseurs d’électricité dans les États-membres de la Commission de l’océan Indien (COI) se sont concertés à dans la capitale, afin de renforcer la promotion de la coopération entre les compagnies nationales membres du COI. L’idée étant de créer un réseau régional d’entreprises et de centres de recherches actifs sur les thèmes « Énergies renouvelables et efficacité énergétique », à partir des sociétés nationales de l’énergie des pays membres, à savoir la jirama pour Madagascar, la MAMWE pour les Comores, l’EDF France pour La Réunion, la CEB pour Maurice, et la PUC pour les Seychelles. « La jirama projette, cette année, la mise en place de quarante cinq centrales hybrides de 65MW en régions, dans les capitales provinciales ainsi que la mise en marche des centrales 40MW abimées, faute d’entretien. Sans oublier l’installation d’une centrale photovoltaïque de 20MW », précise Olivier Jaomiary, directeur général de la Jirama. Dans le même volet des réalités de production, les représentants de ces sociétés nationales de production d’électricité admettent que les contraintes résident aussi dans la gestion des tarifs conformes au coût de production. Selon eux « il s’agit d’épargner les clients à faibles revenus alors que la baisse des tarifs ainsi que l'absence d’investissements affaiblissent le développement du secteur ». Objectif amélioration Un problème commun des compagnies membres du club qui ambitionne, malgré tout, d’améliorer le réseau en se penchant sur l’hybridation, le mix énergétique, l’optimisation du système de distribution et surtout la gestion des problèmes de gouvernance. Des points sur lesquels le club se penchera lors de la prochaine réunion fixée pour le mois de juillet 2018 aux Seychelles. « Une occasion pour la société nationale de l’électricité d’enrichir son plan de redressement 2020 », conclut le directeur général de la jirama. Harilalaina Rakotobe
Problématique. Les réalités professionnelles en matière de production de l’électricité ont été abordées durant deux jours par les clubs des électriciens de l’océan Indien. Hier et avant-hier, les représentants des sociétés nationales producteurs et fournisseurs d’électricité dans les États-membres de la Commission de l’océan Indien (COI) se sont concertés à dans la capitale, afin de renforcer la promotion de la coopération entre les compagnies nationales membres du COI. L’idée étant de créer un réseau régional d’entreprises et de centres de recherches actifs sur les thèmes « Énergies renouvelables et efficacité énergétique », à partir des sociétés nationales de l’énergie des pays membres, à savoir la jirama pour Madagascar, la MAMWE pour les Comores, l’EDF France pour La Réunion, la CEB pour Maurice, et la PUC pour les Seychelles. « La jirama projette, cette année, la mise en place de quarante cinq centrales hybrides de 65MW en régions, dans les capitales provinciales ainsi que la mise en marche des centrales 40MW abimées, faute d’entretien. Sans oublier l’installation d’une centrale photovoltaïque de 20MW », précise Olivier Jaomiary, directeur général de la Jirama. Dans le même volet des réalités de production, les représentants de ces sociétés nationales de production d’électricité admettent que les contraintes résident aussi dans la gestion des tarifs conformes au coût de production. Selon eux « il s’agit d’épargner les clients à faibles revenus alors que la baisse des tarifs ainsi que l'absence d’investissements affaiblissent le développement du secteur ». Objectif amélioration Un problème commun des compagnies membres du club qui ambitionne, malgré tout, d’améliorer le réseau en se penchant sur l’hybridation, le mix énergétique, l’optimisation du système de distribution et surtout la gestion des problèmes de gouvernance. Des points sur lesquels le club se penchera lors de la prochaine réunion fixée pour le mois de juillet 2018 aux Seychelles. « Une occasion pour la société nationale de l’électricité d’enrichir son plan de redressement 2020 », conclut le directeur général de la jirama. Harilalaina Rakotobe