Les explosions de bombes lacrymogènes ont détonné dans la commune d’Alakamisy-Fenoarivo, hier. Les étudiants de l’Ecole supérieure polytechnique d’Antananarivo à Vontovorona ont repris leur manifestation. Ils sont mécontents face à la condamnation de leurs quatre camarades qui ont bénéficié d’un emprisonnement de quinze jours avec sursis à la suite des manifestations sans autorisation sur la voie publique. «Annuler cette condamnation ! », crient-ils pour soutenir leurs camarades. « Effrontés », ces étudiants se trouvaient à nouveau sur la voie publique, hier. Les éléments de force de l’ordre les ont renvoyés dans leur campus, avec des bombes lacrymogènes. Bilan de la journée : aucun blessé, aucune arrestation. Dans la semaine du 25 février, des personnes ont été blessées durant l’affrontement musclé entre les éléments de force de l’ordre et les manifestants. L’ultimatum de 72 heures de ces étudiants est épuisé, lundi. Ils ont décidé de manifester après une assemblée générale. « Aucune de nos revendications n’est satisfaite. Nos camarades ne sont pas libérés de leur peine, les infrastructures de l’établissement sont toujours délabrées, la hausse des bourses d’étude n’est pas accordée, la connexion n’existe toujours pas et aucune rencontre avec les autorités compétentes n’a eu lieu », indique leur porte-parole.
Les explosions de bombes lacrymogènes ont détonné dans la commune d’Alakamisy-Fenoarivo, hier. Les étudiants de l’Ecole supérieure polytechnique d’Antananarivo à Vontovorona ont repris leur manifestation. Ils sont mécontents face à la condamnation de leurs quatre camarades qui ont bénéficié d’un emprisonnement de quinze jours avec sursis à la suite des manifestations sans autorisation sur la voie publique. «Annuler cette condamnation ! », crient-ils pour soutenir leurs camarades. « Effrontés », ces étudiants se trouvaient à nouveau sur la voie publique, hier. Les éléments de force de l’ordre les ont renvoyés dans leur campus, avec des bombes lacrymogènes. Bilan de la journée : aucun blessé, aucune arrestation. Dans la semaine du 25 février, des personnes ont été blessées durant l’affrontement musclé entre les éléments de force de l’ordre et les manifestants. L’ultimatum de 72 heures de ces étudiants est épuisé, lundi. Ils ont décidé de manifester après une assemblée générale. « Aucune de nos revendications n’est satisfaite. Nos camarades ne sont pas libérés de leur peine, les infrastructures de l’établissement sont toujours délabrées, la hausse des bourses d’étude n’est pas accordée, la connexion n’existe toujours pas et aucune rencontre avec les autorités compétentes n’a eu lieu », indique leur porte-parole.