Consolidation des acquis. C’est par ce principe qu’un atelier de renforcement de capacité sur le programme de biodiversité a été effectué la semaine dernière à l’hôtel le Louvre Antaninarenina. Le programme vise la conservation de la biodiversité et l’utilisation durable des ressources marines et côtières, pour une amélioration des conditions de vie des communautés. Dans la région océan Indien, Madagascar constitue le premier bénéficiaire du programme Biodiversité en terme de nombre de projets subventionnés, soit onze projets sur vingt-neuf existants dans la Grande île. Ce qui représente un montant total d’environ 900 000 euros. « Le programme Biodiversité entre dans le cadre de la mise en œuvre de la politique nationale pour le développement durable (PNDD), de la stratégie et du plan d’action national sur la biodiversité », souligne Edmée Ralalaharisoa, Directrice Générale de l’Environnement en concluant que « Les résultats seront utilisés soit comme préalables à d’autres actions futures. Comme le cas de l’élaboration du futur code de l’environnement, soit comme acquis pour renforcer davantage les actions de conservation ». Une manière pour les acteurs de ce secteur de maintenir la Grande île comme hotspot de la biodiversité.
Consolidation des acquis. C’est par ce principe qu’un atelier de renforcement de capacité sur le programme de biodiversité a été effectué la semaine dernière à l’hôtel le Louvre Antaninarenina. Le programme vise la conservation de la biodiversité et l’utilisation durable des ressources marines et côtières, pour une amélioration des conditions de vie des communautés. Dans la région océan Indien, Madagascar constitue le premier bénéficiaire du programme Biodiversité en terme de nombre de projets subventionnés, soit onze projets sur vingt-neuf existants dans la Grande île. Ce qui représente un montant total d’environ 900 000 euros. « Le programme Biodiversité entre dans le cadre de la mise en œuvre de la politique nationale pour le développement durable (PNDD), de la stratégie et du plan d’action national sur la biodiversité », souligne Edmée Ralalaharisoa, Directrice Générale de l’Environnement en concluant que « Les résultats seront utilisés soit comme préalables à d’autres actions futures. Comme le cas de l’élaboration du futur code de l’environnement, soit comme acquis pour renforcer davantage les actions de conservation ». Une manière pour les acteurs de ce secteur de maintenir la Grande île comme hotspot de la biodiversité.