Consolidation de la coopération sino-malgache. Trente élites de l'enseignement supérieur à Madagascar vont poursuivre leurs études en Chine, à partir de l'année universitaire 2017-2018. Ils sont boursiers de la République populaire de Chine et vont fréquenter les vingt meilleures universités de ce pays. « À leur retour, ils serviront à renforcer davantage le lien entre la Chine et l’Afrique. Ils pourraient contribuer à la mise en œuvre de l’initiative ‘’la Ceinture et la Route’’, le mémorandum que Madagascar vient de signer, et vont assurer le développement de la Chine et, naturellement, de Madagascar », indique Chen Xiaolei, chargé d'affaires de l'ambassade de Chine à Madagascar. C'était à Nanisana, hier, lors de la remise de l'attestation d'admission à une université chinoise aux boursiers. Ces jeunes étudiants poursuivront des études en médecine, en pharmacologie, en finances, en management, en technologie et d'autres encore. La chance de réaliser un rêve s'offre à Maviah Mily, une récipiendaire. « J'ai toujours rêvé d'enseigner la pharmacologie. Je pourrais obtenir le diplôme requis, en effectuant des études à l'étranger », affirme cette jeune femme de 26 ans. Cent cinquante à deux cent boursiers partent pour l'étranger chaque année. C'est en moyenne le nombre de bourses d'études provenant des pays partenaires de Madagascar, selon le secrétaire général du ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Christian Guy Ralijaona. « La République populaire de Chine en offre une trentaine, et Maurice, une quarantaine», souligne-t-il. Les bourses d'études du gouvernement malgache restent suspendues. Le gouvernement chinois espère que de plus en plus d'étudiants malgaches puissent bénéficier de ses bourses d'études. Il est donc probable que l'année prochaine, il y aura plus de boursiers malgaches qui partiront dans ce pays de l'Asie de l'Est. Miangaly Ralitera
Consolidation de la coopération sino-malgache. Trente élites de l'enseignement supérieur à Madagascar vont poursuivre leurs études en Chine, à partir de l'année universitaire 2017-2018. Ils sont boursiers de la République populaire de Chine et vont fréquenter les vingt meilleures universités de ce pays. « À leur retour, ils serviront à renforcer davantage le lien entre la Chine et l’Afrique. Ils pourraient contribuer à la mise en œuvre de l’initiative ‘’la Ceinture et la Route’’, le mémorandum que Madagascar vient de signer, et vont assurer le développement de la Chine et, naturellement, de Madagascar », indique Chen Xiaolei, chargé d'affaires de l'ambassade de Chine à Madagascar. C'était à Nanisana, hier, lors de la remise de l'attestation d'admission à une université chinoise aux boursiers. Ces jeunes étudiants poursuivront des études en médecine, en pharmacologie, en finances, en management, en technologie et d'autres encore. La chance de réaliser un rêve s'offre à Maviah Mily, une récipiendaire. « J'ai toujours rêvé d'enseigner la pharmacologie. Je pourrais obtenir le diplôme requis, en effectuant des études à l'étranger », affirme cette jeune femme de 26 ans. Cent cinquante à deux cent boursiers partent pour l'étranger chaque année. C'est en moyenne le nombre de bourses d'études provenant des pays partenaires de Madagascar, selon le secrétaire général du ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Christian Guy Ralijaona. « La République populaire de Chine en offre une trentaine, et Maurice, une quarantaine», souligne-t-il. Les bourses d'études du gouvernement malgache restent suspendues. Le gouvernement chinois espère que de plus en plus d'étudiants malgaches puissent bénéficier de ses bourses d'études. Il est donc probable que l'année prochaine, il y aura plus de boursiers malgaches qui partiront dans ce pays de l'Asie de l'Est. Miangaly Ralitera