Effarés. Des badauds ayant aperçu un jeune homme de 24 ans sauter du pont de Tanjombato ont alerté les pompiers à 9h15, hier. Dans la foulée, quatre plongeurs bien équipés avec un véhicule de secours ont été diligentés sur les lieux. Avant l’arrivée des sauveteurs, la victime a déjà été engloutie et charriée par les eaux. D’après des explications concordantes, le corps ne se trouve plus au dernier repère indiqué par les témoins oculaires. Deux hommes-grenouilles se sont succédé pour retrouver le malheureux. À 11h30, le corps sans vie du jeune homme a finalement été remonté à la surface. « Aucune pièce d’identité n’a été découverte sur lui », a décrit l’adjudant-chef Malasoa Razafinirina, moniteur plongeur des sapeurs-pompiers de Tsaralalàna. Le bureau municipal d’hygiène (BMH) et la brigade criminelle ont fait le constat et la dépouille a été conduite à la morgue pour y être autopsiée, suivant les explications reçues. La famille de la victime, toujours sous le choc, n’a pu être entendue.
Effarés. Des badauds ayant aperçu un jeune homme de 24 ans sauter du pont de Tanjombato ont alerté les pompiers à 9h15, hier. Dans la foulée, quatre plongeurs bien équipés avec un véhicule de secours ont été diligentés sur les lieux. Avant l’arrivée des sauveteurs, la victime a déjà été engloutie et charriée par les eaux. D’après des explications concordantes, le corps ne se trouve plus au dernier repère indiqué par les témoins oculaires. Deux hommes-grenouilles se sont succédé pour retrouver le malheureux. À 11h30, le corps sans vie du jeune homme a finalement été remonté à la surface. « Aucune pièce d’identité n’a été découverte sur lui », a décrit l’adjudant-chef Malasoa Razafinirina, moniteur plongeur des sapeurs-pompiers de Tsaralalàna. Le bureau municipal d’hygiène (BMH) et la brigade criminelle ont fait le constat et la dépouille a été conduite à la morgue pour y être autopsiée, suivant les explications reçues. La famille de la victime, toujours sous le choc, n’a pu être entendue.