Épreuves EPS - Quelques convocations rectifiées


Certains candidats n’ont pu participer aux épreuves physiques et sportives car les convocations ont dû être rectifiées, faute de bonne coordination. Mauvaise organisation. Quelques convocations des candidats aux épreuves physiques et sportives ont dû être rectifiées suite à un traitement trop hâtif des dossiers. La préparation des dossiers des épreuves physiques et sportives des candidats au BEPC s’est terminée tardivement, hier. « Ces dossiers devant être traités en une semaine, ont été traités juste en trois jours. Quelques convocations ont eu besoin de rectification. Le paiement tardif des vacations est la source de cette désorganisation », affirme un responsable d’établissement qui a requis l’anonymat. Il poursuit que le paiement des vacations pose toujours problème car le non-paiement de ces dernières peut hypothéquer les épreuves d’EPS. Malgré cette mauvaise organisation, les épreuves d’EPS se sont bien déroulées. Certains candidats qui ne se sont pas munis de leur carte d’identité, ont été renvoyés chez eux. Cependant, ils peuvent encore passer les épreuves d’ici vendredi. « Même si cette épreuve est facultative, c’est toujours un bonus pour les candidats. En tant qu’organisateurs, nous incitons toujours les candidats à se présenter jusqu’à vendredi », ajoute un responsable sur terrain. La plupart des circonscriptions scolaires issues de la région Analamanga ont terminé les épreuves, sauf les Cisco d’Antananarivo-Renivohitra, d’Ambohitradra-trimo, d’Avaradrano et de Miarinarivo. Assistance médicale Aucun incident grave ne s’est produit durant les épreuves. Les médecins ont été présents à leur poste. Quelques candidats sont tombés lors de l’épreuve d’endurance ou la course de vitesse. Par ailleurs, le service d’assistance ne suit pas les normes. « Ce sont les médecins du service de district de santé qui s’occupent de l’assistance médicale des jeunes, lors des épreuves physiques et sportives. Et cette assistance lors de l’EPS n’est pas considérée convenablement par les responsables. Par exemple, une voiture d’urgence devrait être sur place, ce qui n’est pas le cas. Alors, dans les cas graves, nous envoyons tout de suite les concernés à l’hôpital», explique un médecin présent sur un centre d’épreuve d’hier qui requis l’anonymat.
Plus récente Plus ancienne