Découverte effarante. Un habitant d’Andranovorivato, dans le district de Vohibato, âgé de 33 ans a été retrouvé mort dans une forêt non loin, au sud du village, dimanche matin vers 8 heures. C’était un ramasseur de copeaux attiré par un chien qui a aperçu en premier son corps complètement méconnaissable. «Il était défiguré. Une importante partie de ses muscles a été dévorée et il n’avait plus de cheveux», a relaté un gendarme du poste avancé local. Les enquêteurs et le médecin légiste n’ont absolument aucune idée sur ce qui aurait pu être la cause de sa mort. «Nous ignorons s’il a été tué avant d’être déposé dans cette forêt ou ce serait parce qu’il était ivre et n’en pouvait plus», supposent-ils. En fait, la victime n’a pas donné signe de vie depuis le jeudi 1er novembre. «Ce soir-là, il n’est pas rentré. Nous avons cru qu’il rendu visite à un proche et y est resté. Alors nous ne l’avons pas recherché. Mais samedi, nous commençons à nous inquiéter après que nous n’avons reçu aucune nouvelle de lui», a raconté un membre de la famille. Avisée de la découverte macabre, elle s’est à la minute rendue sur les lieux pour identifier le cadavre. Selon la gendarmerie, un collier autour de son cou et ses vêtements ensanglantés ont permis de le reconnaître. L’enquête est en cours.
Découverte effarante. Un habitant d’Andranovorivato, dans le district de Vohibato, âgé de 33 ans a été retrouvé mort dans une forêt non loin, au sud du village, dimanche matin vers 8 heures. C’était un ramasseur de copeaux attiré par un chien qui a aperçu en premier son corps complètement méconnaissable. «Il était défiguré. Une importante partie de ses muscles a été dévorée et il n’avait plus de cheveux», a relaté un gendarme du poste avancé local. Les enquêteurs et le médecin légiste n’ont absolument aucune idée sur ce qui aurait pu être la cause de sa mort. «Nous ignorons s’il a été tué avant d’être déposé dans cette forêt ou ce serait parce qu’il était ivre et n’en pouvait plus», supposent-ils. En fait, la victime n’a pas donné signe de vie depuis le jeudi 1er novembre. «Ce soir-là, il n’est pas rentré. Nous avons cru qu’il rendu visite à un proche et y est resté. Alors nous ne l’avons pas recherché. Mais samedi, nous commençons à nous inquiéter après que nous n’avons reçu aucune nouvelle de lui», a raconté un membre de la famille. Avisée de la découverte macabre, elle s’est à la minute rendue sur les lieux pour identifier le cadavre. Selon la gendarmerie, un collier autour de son cou et ses vêtements ensanglantés ont permis de le reconnaître. L’enquête est en cours.