Les femmes défavorisées du quartier d’Ankazomanga, Antohomadinika et ses environs ont eu leur part à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la femme, hier. Des consultations et soins gratuits ont été organisés par l’Institut Islamique de Madagascar (Inisma). Cet évènement est appuyé par le ministère de la Santé publique, du ministère de la Population, de la protection sociale et de la promotion de la femme. « Comme c’est la journée de la femme, nous avons privilégié la femme dans cet évènement. Des soins gratuits leurs ont été offerts. Aussi toutes les maladies courantes peuvent-elles être traitées ici », explique Asma Nirinasoa, responsable sociale au sein de l’Inisma et de la radio Voix de la sagesse. Des vivres ont été aussi distribuées pour appuyer les femmes vivant dans les bas quartiers. « C’est un avantage de pouvoir bénéficier de consultation gratuite car nous pouvons savoir vraiment notre état de santé. Mais surtout retenir les conseils du médecin sur la prévention contre les maladies», affirme Bakoly, une habitante d’Antohomadinika. Environ mille personnes ont procédé à la consultation gratuite.
Les femmes défavorisées du quartier d’Ankazomanga, Antohomadinika et ses environs ont eu leur part à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la femme, hier. Des consultations et soins gratuits ont été organisés par l’Institut Islamique de Madagascar (Inisma). Cet évènement est appuyé par le ministère de la Santé publique, du ministère de la Population, de la protection sociale et de la promotion de la femme. « Comme c’est la journée de la femme, nous avons privilégié la femme dans cet évènement. Des soins gratuits leurs ont été offerts. Aussi toutes les maladies courantes peuvent-elles être traitées ici », explique Asma Nirinasoa, responsable sociale au sein de l’Inisma et de la radio Voix de la sagesse. Des vivres ont été aussi distribuées pour appuyer les femmes vivant dans les bas quartiers. « C’est un avantage de pouvoir bénéficier de consultation gratuite car nous pouvons savoir vraiment notre état de santé. Mais surtout retenir les conseils du médecin sur la prévention contre les maladies», affirme Bakoly, une habitante d’Antohomadinika. Environ mille personnes ont procédé à la consultation gratuite.