En coupant durant trois jours son système d'identification automatique par satellite, l'équipage du Seabed Constructor qui a repris les recherches visant à retrouver l'épave du Boeing 777 assurant le vol MH 370 a fait battre le cœur de tous ceux qui suivent de près les tentatives pour percer le mystère de la disparition. Fausse alerte, Ocean Infinity qui affrète le navire a indiqué qu'il avait bien détecté quelque chose sur le plancher océanique mais qu'il s'agissait de formations géologiques. Le 10 janvier dernier, le gouvernement malaisien a conclu un accord avec Ocean Infinity. Si l'entreprise américaine découvre l'épave, elle empochera jusqu'à 70 millions de dollars (58 millions d'euros). Dans le cas contraire, elle en sera de sa poche. La nouvelle zone de recherches, vaste de 25 000 km2, est située au nord de la précédente, dans le sud de l'océan Indien. Les opérations doivent durer trois mois maximum. Aucune trace de l'appareil n'avait été trouvée dans la zone de recherches de 120 000 km2 explorée dans le sud de l'océan Indien au large de l'Australie. © Jir
En coupant durant trois jours son système d'identification automatique par satellite, l'équipage du Seabed Constructor qui a repris les recherches visant à retrouver l'épave du Boeing 777 assurant le vol MH 370 a fait battre le cœur de tous ceux qui suivent de près les tentatives pour percer le mystère de la disparition. Fausse alerte, Ocean Infinity qui affrète le navire a indiqué qu'il avait bien détecté quelque chose sur le plancher océanique mais qu'il s'agissait de formations géologiques. Le 10 janvier dernier, le gouvernement malaisien a conclu un accord avec Ocean Infinity. Si l'entreprise américaine découvre l'épave, elle empochera jusqu'à 70 millions de dollars (58 millions d'euros). Dans le cas contraire, elle en sera de sa poche. La nouvelle zone de recherches, vaste de 25 000 km2, est située au nord de la précédente, dans le sud de l'océan Indien. Les opérations doivent durer trois mois maximum. Aucune trace de l'appareil n'avait été trouvée dans la zone de recherches de 120 000 km2 explorée dans le sud de l'océan Indien au large de l'Australie. © Jir