Au bout d’une semaine de captivité, un garçon de 5 ans enlevé du côté de Betafo, à Ambohimanarina, le jeudi 22 novembre, a été relâché par ses trois ravisseurs moyennant rançon. Ces malfrats se sont manifestés une fois le gamin entre leurs mains. Ils ont téléphoné à ses parents et demandé cinq millions d’ariary contre la libération de leur enfant sain et sauf. Une somme qui allait être versée deux heures après le rapt. La rançon a finalement été fixée à un million d’ariary, payée plus tard. L’otage a été liberé le mercredi 28 novembre. Le lendemain de l’enlèvement, les parents du garçon ont porté plainte auprès de la brigade criminelle de troisième section (BC3) à Anosy. Une réquisition des conversations téléphoniques entre famille et ravisseurs a ainsi été effectuée. La recherche est d’abord tombée sur un suspect qui aurait séquestré la victime chez lui, à Mamory Ivato. Au cours de son interrogatoire, il a cité ses deux présumées complices, lesquelles ont attrapé le garçon en cours de route vers l’école. Ils sont alors trois personnes à être déférées au parquet hier.
Au bout d’une semaine de captivité, un garçon de 5 ans enlevé du côté de Betafo, à Ambohimanarina, le jeudi 22 novembre, a été relâché par ses trois ravisseurs moyennant rançon. Ces malfrats se sont manifestés une fois le gamin entre leurs mains. Ils ont téléphoné à ses parents et demandé cinq millions d’ariary contre la libération de leur enfant sain et sauf. Une somme qui allait être versée deux heures après le rapt. La rançon a finalement été fixée à un million d’ariary, payée plus tard. L’otage a été liberé le mercredi 28 novembre. Le lendemain de l’enlèvement, les parents du garçon ont porté plainte auprès de la brigade criminelle de troisième section (BC3) à Anosy. Une réquisition des conversations téléphoniques entre famille et ravisseurs a ainsi été effectuée. La recherche est d’abord tombée sur un suspect qui aurait séquestré la victime chez lui, à Mamory Ivato. Au cours de son interrogatoire, il a cité ses deux présumées complices, lesquelles ont attrapé le garçon en cours de route vers l’école. Ils sont alors trois personnes à être déférées au parquet hier.