Pour une grande première en solo sur une scène d’une telle envergure. Nate Tex a su éblouir le public venu en masse apprécier son talent au CCESCA Antanimena, hier après-midi. Un moment de grâce pour ce jeune homme qui a su brillamment évoluer dans le milieu de la scène artistique par la force de son talent. C’est ainsi que se décrit le concert de Nate Tex sur la scène du CCESCA Antanimena hier, intitulé « Pejy faharoa », titre même de l’un de ses plus récentes compositions. De son vrai nom Nantenaina Zonirina Ratsiandavana, le jeune chanteur s’est laissé aller à jouer le rôle d’un « showman » accompli pour son public. Bien au-delà d’un concert, c’est d’ailleurs tout un spectacle musical qu’il a présenté le temps d’un après-midi. À 15h tapante, le chanteur accompagné de ses musiciens, ainsi que de ses chœurs monte sur scène et de là, il entame ce qui sera pour lui une grande fête en l’honneur de sa musique. « C’est vraiment ému que je me tiens devant vous aujourd’hui. Sincèrement, je n’en espérais pas autant, c’est pourquoi je vous promets du grand spectacle aujourd’hui pour vous montrer ma gratitude », souligne Nate Tex en ouvrant le bal. Ainsi, le chanteur s’est plu à exposer sur scène l’ampleur de son talent, mélomane averti, mais aussi comédien exceptionnel, il émerveille le public par sa voix et l’amuse par son humour taquin bien maîtrisé. Il n’est donc pas surprenant que le concert ait vite pris un petit air de « music-hall ». À un tel point que les nostalgiques d’entre nous présents dans la salle se sont même dit retrouver en lui le Henri Ratsimbazafy d’antan au fil de sa prestation scénique. Charmant et prometteur Produit par Mi’Ritsoka Production, le concert d’hier s’affirme aussi déjà comme ce moment distingué qui adoube le jeune Nate Tex parmi les meilleurs de sa génération. Si pour lui, c’était un véritable privilège de jouer devant un tel public, cela était réciproque, puisque dans la salle, l’enthousiasme de ce dernier en reprenant chacune de ses chansons s’est bien fait ressentir. Enchainant ses compositions les plus connus comme l’entraînant « M’fly way », mais aussi les moins connus comme « Anjelinao », l’une des premières ballades qu’il a écrites, ou encore « Tsy ahy » composé pour lui par Marion. Nate Tex subjugue, mais surprend surtout par son aisance sur la scène. D’autant plus, lorsqu’il est accompagné par de jeunes invités tous aussi talentueux que lui. À l’instar de Rosah Zanamiarintsoa, avec qui il joue une petite saynète avant de chanter « Hatsiaro ahy », mais aussi Gaëlle Tsirininofy sur « Tantara mamy », mais aussi le rappeur Agrad avec « Hangina hangahiahy » et le slameur Barry Benson sur « Roman 1212 ». Le tout en amusant continuellement la galerie en jouant la carte de la proximité avec ses fans, Nate Tex conquiert alors un public de tous âges. Délectant même son auditoire d’une interprétation à sa sauce de la chanson du français Amir intitulé « Je voudrais que ça dure longtemps » à la guitare en guise de surprise. Misant sur la jeunesse, Mi’Ritsoka Production a mis le paquet pour ce concert qui étonne aussi bien par sa simplicité que sa féerie. Le fait est que certaines chansons de Nate Tex rappellent les belles mélodies enfantines et mélodieuses des films Disney. C’est sur son tube « Tsara tso-drano » que le chanteur clôt le concert, promettant des retrouvailles encore plus enchanteresses pour bientôt.
Pour une grande première en solo sur une scène d’une telle envergure. Nate Tex a su éblouir le public venu en masse apprécier son talent au CCESCA Antanimena, hier après-midi. Un moment de grâce pour ce jeune homme qui a su brillamment évoluer dans le milieu de la scène artistique par la force de son talent. C’est ainsi que se décrit le concert de Nate Tex sur la scène du CCESCA Antanimena hier, intitulé « Pejy faharoa », titre même de l’un de ses plus récentes compositions. De son vrai nom Nantenaina Zonirina Ratsiandavana, le jeune chanteur s’est laissé aller à jouer le rôle d’un « showman » accompli pour son public. Bien au-delà d’un concert, c’est d’ailleurs tout un spectacle musical qu’il a présenté le temps d’un après-midi. À 15h tapante, le chanteur accompagné de ses musiciens, ainsi que de ses chœurs monte sur scène et de là, il entame ce qui sera pour lui une grande fête en l’honneur de sa musique. « C’est vraiment ému que je me tiens devant vous aujourd’hui. Sincèrement, je n’en espérais pas autant, c’est pourquoi je vous promets du grand spectacle aujourd’hui pour vous montrer ma gratitude », souligne Nate Tex en ouvrant le bal. Ainsi, le chanteur s’est plu à exposer sur scène l’ampleur de son talent, mélomane averti, mais aussi comédien exceptionnel, il émerveille le public par sa voix et l’amuse par son humour taquin bien maîtrisé. Il n’est donc pas surprenant que le concert ait vite pris un petit air de « music-hall ». À un tel point que les nostalgiques d’entre nous présents dans la salle se sont même dit retrouver en lui le Henri Ratsimbazafy d’antan au fil de sa prestation scénique. Charmant et prometteur Produit par Mi’Ritsoka Production, le concert d’hier s’affirme aussi déjà comme ce moment distingué qui adoube le jeune Nate Tex parmi les meilleurs de sa génération. Si pour lui, c’était un véritable privilège de jouer devant un tel public, cela était réciproque, puisque dans la salle, l’enthousiasme de ce dernier en reprenant chacune de ses chansons s’est bien fait ressentir. Enchainant ses compositions les plus connus comme l’entraînant « M’fly way », mais aussi les moins connus comme « Anjelinao », l’une des premières ballades qu’il a écrites, ou encore « Tsy ahy » composé pour lui par Marion. Nate Tex subjugue, mais surprend surtout par son aisance sur la scène. D’autant plus, lorsqu’il est accompagné par de jeunes invités tous aussi talentueux que lui. À l’instar de Rosah Zanamiarintsoa, avec qui il joue une petite saynète avant de chanter « Hatsiaro ahy », mais aussi Gaëlle Tsirininofy sur « Tantara mamy », mais aussi le rappeur Agrad avec « Hangina hangahiahy » et le slameur Barry Benson sur « Roman 1212 ». Le tout en amusant continuellement la galerie en jouant la carte de la proximité avec ses fans, Nate Tex conquiert alors un public de tous âges. Délectant même son auditoire d’une interprétation à sa sauce de la chanson du français Amir intitulé « Je voudrais que ça dure longtemps » à la guitare en guise de surprise. Misant sur la jeunesse, Mi’Ritsoka Production a mis le paquet pour ce concert qui étonne aussi bien par sa simplicité que sa féerie. Le fait est que certaines chansons de Nate Tex rappellent les belles mélodies enfantines et mélodieuses des films Disney. C’est sur son tube « Tsara tso-drano » que le chanteur clôt le concert, promettant des retrouvailles encore plus enchanteresses pour bientôt.