Des agents de la direction régionale de l’Environnement, de l’écologie et des forêts du Vakinankaratra ont découvert quatre cent quarante-huit rondins de palissandre lors d’une descente dans un endroit destiné à devenir une nouvelle zone protégée, dans le district d’Ambatolampy. Ces bois précieux étaient transportés par un camion. Lors d’un contrôle effectué à Tsinjoarivo, il est avéré que la coupe et l’exploitation des rondins étaient illicites. De fait, Madagascar est interdit par la Cites (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction) de commerce et d’exportation de bois précieux, à partir de décembre 2016, suite à la gabegie dans leur exploitation. En fait, tous les rondins semblaient être fraîchement coupés. Jusqu’ici, seul le chauffeur du camion est provisoirement détenu et interrogé. Selon notre source, de telles coupes illégales sont fréquentes dans la réserve en question, mais personne n’a osé dénoncer ces pratiques auprès des autorités locales, jusqu’à présent. L’exploitant fautif serait un proche d’une personnalité haut placée. Cette même source affirme que les rondins, transitant dans le Vakinankaratra et délivrés à Antananarivo, proviendraient d’Anosibe an’ala, dans la région Alaotra-Mangoro. Après une certaine «accalmie», le trafic de bois précieux semble reprendre. d’autant plus que ceux qui en étaient impliqués seraient « indemnisés » selon un décret du gouvernement.
Des agents de la direction régionale de l’Environnement, de l’écologie et des forêts du Vakinankaratra ont découvert quatre cent quarante-huit rondins de palissandre lors d’une descente dans un endroit destiné à devenir une nouvelle zone protégée, dans le district d’Ambatolampy. Ces bois précieux étaient transportés par un camion. Lors d’un contrôle effectué à Tsinjoarivo, il est avéré que la coupe et l’exploitation des rondins étaient illicites. De fait, Madagascar est interdit par la Cites (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction) de commerce et d’exportation de bois précieux, à partir de décembre 2016, suite à la gabegie dans leur exploitation. En fait, tous les rondins semblaient être fraîchement coupés. Jusqu’ici, seul le chauffeur du camion est provisoirement détenu et interrogé. Selon notre source, de telles coupes illégales sont fréquentes dans la réserve en question, mais personne n’a osé dénoncer ces pratiques auprès des autorités locales, jusqu’à présent. L’exploitant fautif serait un proche d’une personnalité haut placée. Cette même source affirme que les rondins, transitant dans le Vakinankaratra et délivrés à Antananarivo, proviendraient d’Anosibe an’ala, dans la région Alaotra-Mangoro. Après une certaine «accalmie», le trafic de bois précieux semble reprendre. d’autant plus que ceux qui en étaient impliqués seraient « indemnisés » selon un décret du gouvernement.