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Une confusion s’est glissée dans notre article sur « la traite humaine » paru le mardi 16 janvier. C’étaient deux parents de migrantes expédiées en Chine qui ont fait appel après la mise en liberté provisoire du recruteur, mais non la police nationale. Le parquet est revenu à sa décision de le placer sous mandat de dépôt. Toutes nos excuses à l’intéressé et à nos lecteurs.
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