Un événement à part, affichant une fraternité et une solidarité uniques leur genre en ode à la danse sous toute ses formes. C'est un festival inédit, conjuguant deux manifestations pour le prix d'une qui a égayé Ilafy et ses environs ce week-end. « Voambolana - Labdihy » y a ainsi fédéré les sommités de la danse contemporaine pour le plus grand plaisir de ses inconditionnels. Un bon moment de convivialité a ainsi pris place à Ilafy, où un espace de partage, de découverte, mais surtout de création a amplement ravi un public privilégié. Emmené par la compagnie Dihy Arivelo et la compagnie Rary, qui rassemblent à eux deux plusieurs danseurs et chorégraphes d'exception, « Voambolana - Labdihy » s'est ouvert par un grand carnaval festif dans la matinée du samedi matin depuis le Somacou pour rejoindre ensuite une grande scène à Manjaka Ilafy où un grand spectacle a pris vie. Affichant un savant melting-pot d'inventivité artistique, ce jeune festival qui a enchanté cette localité depuis le 5 octobre, s'est clôturé dans la joie et l'allégresse, hier après-midi. Divers projets artistiques inédits se sont ainsi représentés face à un public de passionnés, mais aussi de curieux qui se sont plu à s'imprégner de l'univers de ce festival. Des artistes de renom comme Ariry Andriamoratsiresy, Geraldine Leong, Judith Manantenasoa ou encore Harivola Rakotondrasoa et Andry Te ont émerveillé le tout Ilafy de leurs chorégraphies qui illustrent un imaginaire et une créativité, respectueux des valeurs malgaches. Porté par le slogan « Tout pas de danse peut s’écrire et tout mot peut se traduire en mouvement », le festival a éveillé l'intérêt d'une jeune génération pour cet art intemporel, qui reflète l'âme qu'est la danse. A. P. R.
Un événement à part, affichant une fraternité et une solidarité uniques leur genre en ode à la danse sous toute ses formes. C'est un festival inédit, conjuguant deux manifestations pour le prix d'une qui a égayé Ilafy et ses environs ce week-end. « Voambolana - Labdihy » y a ainsi fédéré les sommités de la danse contemporaine pour le plus grand plaisir de ses inconditionnels. Un bon moment de convivialité a ainsi pris place à Ilafy, où un espace de partage, de découverte, mais surtout de création a amplement ravi un public privilégié. Emmené par la compagnie Dihy Arivelo et la compagnie Rary, qui rassemblent à eux deux plusieurs danseurs et chorégraphes d'exception, « Voambolana - Labdihy » s'est ouvert par un grand carnaval festif dans la matinée du samedi matin depuis le Somacou pour rejoindre ensuite une grande scène à Manjaka Ilafy où un grand spectacle a pris vie. Affichant un savant melting-pot d'inventivité artistique, ce jeune festival qui a enchanté cette localité depuis le 5 octobre, s'est clôturé dans la joie et l'allégresse, hier après-midi. Divers projets artistiques inédits se sont ainsi représentés face à un public de passionnés, mais aussi de curieux qui se sont plu à s'imprégner de l'univers de ce festival. Des artistes de renom comme Ariry Andriamoratsiresy, Geraldine Leong, Judith Manantenasoa ou encore Harivola Rakotondrasoa et Andry Te ont émerveillé le tout Ilafy de leurs chorégraphies qui illustrent un imaginaire et une créativité, respectueux des valeurs malgaches. Porté par le slogan « Tout pas de danse peut s’écrire et tout mot peut se traduire en mouvement », le festival a éveillé l'intérêt d'une jeune génération pour cet art intemporel, qui reflète l'âme qu'est la danse. A. P. R.